Alerte tornade – Fiction érotique – Suite et fin

Elle sourit, ses lèvres moqueuses remontant légèrement d’un côté. Elle se mit à bouger les hanches d’avant en arrière puis à se presser contre moi. Elle savait comment m’exciter. Elle s’avança suffisamment pour que je puisse prendre la mesure de la rondeur de ses fesses. Elle fit basculer ses hanches d’un côté puis de l’autre afin que je profite non seulement du galbe de ses fesses mais que je puisse sentir sa raie contre mon sexe.

« Tu aimes ça. »

Je souris et fermai les yeux pour mieux profiter du moment. Tornade continuait ses mouvements de va et vient. Elle se pressait de plus en plus fermement contre moi.

« Mais tu prends du plaisir toi aussi » lui dis-je en levant un sourcil et en me mordant les lèvres.

Elle m’adressa un clin d’œil et leva les épaules.

Nous reprîmes nos activités de voyeurs lorsque la sorcière sur le lit émit un gémissement puissant suivi d’une lamentation. Elle grimaça et prononça les mots suivants : « Vas-y. Baise moi fort. »

Les grincements du matelas nous renseignèrent Tornade et moi sur le fait que l’homme avait accédé à sa demande. Quelques instants plus tard, c’est le sommier qui grinçait à son tour. Les pieds de la sorcière étaient pointés vers le plafond et ses jambes grandes écartées alors que l’homme entre ses jambes la pénétrait.

Bientôt, le rythme de frottement de Storm se cala sur celui du couple dans la chambre. Je ne savais pas si elle se balançait ainsi pour m’exciter ou bien si elle était excitée par ce qu’elle regardait. Quoiqu’il en soit, elle m’avait copieusement excité. Je me reculai un peu et me retrouvai devant ses fesses que je me mis à malaxer, frottant mes mains entre ses jambes, pressant sa chatte à travers son déguisement moulant en polyester. Elle déglutit et tendit son dos à mon contact. Son dos s’arrondit comme dans la posture du chat au yoga. Elle bougeait doucement, répondant à mes pressions.

« C’est bon, continue comme ça » dit-elle en acquiesçant.

La sorcière et Jack l’éventreur crièrent de concert sur le lit. Leur cri incita Tornade à s’appuyer de plus en plus fort sur ma main. Laissant ma main droite ainsi, je fis courir la gauche le long de son buste musclé jusqu’à attraper sa poitrine. Son téton était bien dressé sous son déguisement. Elle jeta sa tête en arrière sous le coup de la double stimulation.

« C’est tellement, tellement bon », murmura-t-elle. Elle resserra les cuisses sur ma main.

« Défait mon déguisement » me dit-elle.

Je fis glisser ma main sur sa poitrine et attrapa la fermeture éclair et la descendit entre ses seins jusqu’à sa taille. Son déguisement de super héroïne s’écarta et très vite, je me retrouvai avec son sein dans la main. Comme l’autre, son téton était dur. Je le titillai et jouai avec pour son plus grand plaisir.

Quelques instants plus tard, sa main se mit à frotter mon sexe. Mon pantalon empêchait un contact direct mais sa main faisait des merveilles. Je soupirai et me laissai aller à ce que je ressentais. Tout cela était parfaitement inattendu. J’étais simplement venu à cette fête pour sortir un peu, voir quelques copains et boire quelques verres. Je n’avais pas anticipé cette Tornade.

Elle se tourna vers moi et me sourit. Elle savait ce qu’elle faisait. Ses yeux étaient adorables et brillants. J’y lus qu’ils étaient pleins d’envie.

Les grognements et les halètements de la chambre s’intensifièrent. Ils devenaient de plus en plus bruyants et passionnés. Tornade et moi étions stimulés par ce qui se passait. Je me relevai de façon à ce que Tornade puisse dézipper mon pantalon. Elle baissa et attrapa mon sexe fermement. Je m’appuyai contre le fond du placard, me cognant dans quelques cintres et faisant tomber quelques habits au passage. Le bruit des cintres s’entrechoquant ne fit pas s’arrêter le couple dans la chambre. Les vêtements tombés ne nous arrêtèrent pas nous non plus. Elle dirigea mon sexe vers sa bouche. Elle y déposa un baiser avant de l’enfoncer profondément dans sa bouche.

Tornade suça ma bite avec beaucoup de talent. Il fallait que je m’accroche à quelque chose de solide. Ses lèvres ne rechignaient pas devant l’effort. Elle promena le bout de sa langue de l’autre côté d ema verge sur toute sa longueur. Elle se retira lorsque nous entendîmes un rugissement suivi d’un gémissement avant que les grincements du lit ne se taisent. « Tu es si doué. J’en avais besoin. J’ai adoré. » dit la sorcière. Sa voix semblait fatiguée, plus du tout terrifiante.

J’entendis une fermeture éclair remonter et une ceinture s’attacher, des pieds s’enfoncer dans des chaussures. Tout était silencieux. Tornade et moi nous extirpâmes de ce placard étroit et surchauffé. Sans perdre de temps, je l’allongeai sur le lit. Ses seins ballotaient. Ses mains s’emparèrent de mon sexe à nouveau.

« Je la veux maintenant » me dit-elle.

Je l’aidai à s’extraire de sa combinaison moulante. Elle était nue, allongée sur une couverture avec des étoiles et des planètes. Elle leva les jambes et les écarta. Elle passa sa main dans la fine couche de poils bouclés et ouvrit ses lèvres pour en révéler le rosé mouillé de sa chatte, me suppliant de m’en occuper. Elle voulait être baisée.

« Allez viens. Je ne peux plus attendre. » me pressa-t-elle.

Je n’étais pas assez rapide à son goût. Elle prit ma bite et la plaça devant sa chatte.

Le gland de ma bite sentit sa chaleur et son humidité. Mon sexe se glissa facilement en elle.

Je me balançai profondément, appuyant mes hanches contre les siennes. Mais ce n’était toujours pas assez rapide pour elle.

« Baise moi plus vite. Baise-moi » supplia-t-elle. Elle enfonça ses ongles dans le bas de mon dos.

Je n’avais pas besoin de répondre par la parole. Je réduisis Tornade au silence en enfonçant ma bite très fort et très loin dans sa chatte. Elle haleta, comme l’avait fait la sorcière allongée sur ce même lit quelques instants auparavant. Ses ongles glissèrent le long de mon dos, sur mes hanches et se dirigèrent vers mes fesses. Je ressentis une douleur fulgurante, presque froide.

Alors que je la pénétrais, ses seins faisaient de petits ronds sur son torse et ses tétons noirs étaient toujours aussi durs. Les pinacles de ses monts courbes. Elle mit sa main entre ses jambes pour s’occuper de son clitoris. Son corps se tordit, se tendit sous mes coups de boutoir.

« Oui, oui oui, » ne cessait-elle de répéter. « Oh put…, mon dieu ! »

Mon corps lui aussi ressentait la même chose. Les picotements de plaisir dans les genoux, les épaules et au plus profond de moi. La fureur du moment d’éruption se précisait. Je fermai les yeux, serrai la mâchoire et m’abandonnai à nos va et vient.

Elle cria comme la sorcière puis se tût. Son corps se raidit. Sur son visage, on pouvait voir une grimace à mi-chemin entre la joie et la douleur.

Je m’enfonçai à nouveau en elle et m’arrêtai. Mon corps ne fit pas marche arrière et resta planté dans sa chatte. Au tout dernier moment, je sortis avant de libérer des jets de sperme. Le premier atterrit sur ses tétons. Le deuxième sur son ventre. Chacun de nous essayait de retrouver son calme et ses esprits. Nous nous sommes allongés, calmés, avons respiré en laissant les derniers soubresauts de l’orgasme courir jusque dans nos doigts de pied avant de disparaître.

« Mon Dieu, j’avais besoin de ça. Ça faisait si longtemps » dit Tornade.

Je retrouvai peu à peu mes sens, et surtout la capacité de former des mots. Mais « Wow » était tout ce que je pouvais dire et je le répétai. « Wow. »

Tornade passa son doigt dans mon sperme. Elle en étala la substance blanche entre ses seins et sur ses tétons.

« J’adore le sperme. » Elle reprit ma bite pour faire sortir les dernières gouttelettes. « J’aime aussi les huîtres, et je n’en vois pas beaucoup. »

« Je peux t’en donner un échantillon quand tu veux. Et pour les huîtres, on devrait aller dîner. »

« Je suppose que tu sauras en trouver ; après tout tu es un marin », dit-elle.

Elle nettoya sa poitrine avec un oreiller du lit et remit chacun de ses seins dans la combinaison noire. Elle remonta la fermeture éclair et sauta du lit. Nous nous sommes glissés hors de la chambre pour rejoindre le reste de la fête et la musique dansante.

« Hé, Tornade ! Où étais-tu ? » l’appela la Panthère Noire presque aussi vite que nous étions réapparus.

Elle m’attrapa le bras, contrariée de l’entendre.

« Allons-nous-en. » Je la tirai à travers la foule. Nous repassaâmes devant Prince et Willie Nelson sur le porche de la maison.

« Kalisha », entendis-je une femme appeler. Tornade tourna la tête vers elle. A quelques pas de là, Cendrillon lui faisait signe.

« On doit y aller, ma fille », lui dit Cendrillon.

Tiana était à côté d’elle. « Ouais, tous les monstres sont de sortie. »

« Où est ta perruque ? » demanda Cendrillon.

Tornade se tapota la tête. « Je ne sais pas. Elle a dû tomber. » Elle haussa les épaules et me regarda.

Avant qu’elle ne parte, Tornade et moi avons échangeâmes nos numéros. Puis elle partit. La soirée se calma.

Il était 23 h 29 quand je répondis à Tornade. « Ma pompe est prête ».

Elle répondit immédiatement en m’indiquant son adresse.

Je décidai de laisser chez moi la pipe de Popeye et ses gros avant-bras. Ma motivation était si intense que les épinards n’auraient pas pu la booster davantage.

 

* La première partie se trouve ici !

** Cette nouvelle a été écrite en anglais par Claire Woodruff. Pour la lire dans sa version originale, c’est par !