Bonjour jalousie – Fiction érotique

C’était un jour étouffant de la fin mai. L’humidité dans l’air était épaisse et lourde. Sarah venait de terminer sa séance de gym et rentrait chez elle à vélo. Elle passait par la rue principale, encombrée et animée. Tous les cafés et bistrots débordaient d’activité, de nombreux jeunes rentrant de l’université pour l’été.

Elle dévala une colline et passant devant un parc où quatre jeunes étudiants musclés venaient de terminer une partie de basket. Leurs torses nus luisaient de transpiration. Ils buvaient des boissons énergisantes glacées et regardèrent Sarah alors qu’elle roulait près d’eux. L’un d’eux lui adressa un clin d’œil et un léger signe de tête. Sarah sourit et inclina la tête en arrière, laissant la brise se faufiler dans ses cheveux.

Arrivée chez elle et elle rangea son vélo dans le garage. La voiture de Robert était déjà là, et elle était impatiente de voir ce qu’ils allaient faire en cette journée. Peut-être des margaritas fraîches et puis passer l’après-midi à flirter à l’intérieur avec la climatisation à fond ? N’importe quoi pour échapper à cette chaleur.

Elle prit un moment pour s’étirer. Ses muscles étaient fatigués et endoloris, mais elle se sentait un peu plus énergique, et même un peu plus fringante. Sarah appela Robert en entrant dans la maison. Pas de réponse. Peut-être était-il parti chez leur voisin pour regarder le match à la télévision.

Elle se débarrassa de ses vêtements de sport et prit une douche rapide et fraîche. Sarah se massa légèrement le cou et laissa ses mains moites s’attarder un moment sur ses seins puis les fit glisser sur son corps. D’une main, elle se frotta brièvement sa chatte puis se retira, espérant que Robert s’en occuperait plus tard. Après un bon rinçage à l’eau froide et elle se sécha avec une serviette douce et moelleuse. Elle enfila une jupe courte et un haut sans manches et s’avança dans sa chambre. Elle fut surprise par un bruit soudain de crachotement provenant de l’extérieur de la maison.

Elle se mit à la fenêtre et découvrit Robert qui essayait de démarrer la tondeuse. Ses bras musclés se gonflaient en attrapant la corde de démarrage, puis tiraient dessus fortement. En vain, le moteur refusait de tourner.  Alors qu’elle allait sortir pour lui donner un coup de main, elle aperçut Sam, la fille du voisin, sortir sur le patio d’à côté. Elle avait un arrosoir et commença à arroser les plantes et les fleurs en pot qui en avaient tant besoin.

Sam était de retour de l’université pour l’été et passait le plus clair de son temps à paresser dans le jardin, à faire du yoga ou du jardinage, ou à se prélasser en bikini en lisant des romans de poche trash. Aujourd’hui, elle était pieds nus et portait un short en jean très serré et un débardeur. Elle arrosa chaque plante avec soin et regardait Robert de biais en lui adressant un petit sourire.

Robert s’éloigna et disparut du champ de vision de Sarah. Elle regarda Sam voltiger dans le patio, poser l’arrosoir puis allumer l’arrosage de la pelouse. Sam traversa la pelouse et sauta à travers l’eau de l’arrosage : un léger arc-en-ciel apparut dans la brume alors qu’elle s’élançait à travers les jets d’eau fraîche qui s’élevaient dans l’air. Robert revint avec une boîte à outils et s’agenouilla pour examiner le moteur.

Sam continuait de prendre soin des plantes, se penchant de temps en temps et dévoilant ses fesses rebondies, le pli de ses fesses dépassant de son short. Elle avait une peau couleur olive rayonnante et des cheveux châtain foncé ondulés qui tombaient sur ses épaules fines. Sam avait des seins énormes et fermes qui rebondissaient et se balançaient en rythme lorsqu’elle marchait. Robert leva les yeux de son travail lorsque Sam fit un nouveau saut à travers les jets d’eau. Son haut était maintenant trempé et les pointes de ses cheveux se resserraient légèrement en boucles qu’elle tira en arrière pour les rassembler en une queue de cheval. Sa tête s’inclina vers l’arrière et sa poitrine se gonfla un peu tandis qu’elle inspirait profondément et redescendit alors qu’elle relâchait son souffle par la bouche.

Robert se releva et vérifia son téléphone pendant un instant, offrant son profil à Sarah qui le regardait par la fenêtre. Il se baissa furtivement et ajusta quelque chose. Les yeux de Sarah s’écarquillèrent. Elle avait entrevu une légère bosse dans le short de basket de Robert. Elle sentit ses joues et l’arrière de son cou devenir chaudes. « Quel enfoiré ! » pensa-t-elle. « Il est à la gaule à regarder cette jeune fille danser dehors ! » Elle songea à taper contre la fenêtre pour interrompre cette petite escapade, mais parallèlement à la colère apparut une autre sensation.

Sarah ferma les yeux un moment et respira lentement. Sa peau était encore chaude et elle sentit ses tétons se dresser un peu. Elle ouvrit les yeux et regarda à nouveau dehors où elle vit Robert contempler les fesses rebondies de Sam alors que celle-ci tendait la main pour relever le parasol sur la table du patio. L’eau dégoulinait à l’arrière des cuisses de Sam et le long de ses mollets lisses. Robert se frotta l’arrière de la tête et leva son bras pour essuyer la transpiration de son front. Sarah le regarda glisser le bout de sa bite en érection dans la ceinture de son short, une tentative feinte de dissimuler sa gaule furieuse. Sarah remonta sa jupe et passa la main entre ses jambes. Sa chatte était déjà mouillée lorsqu’elle passa deux doigts sur son clito. Elle les plongea ensuite en elle. Elle se caressa régulièrement pendant un moment, puis remonta sa main et lécha le jus de ses doigts. Soudain, elle entendit le rugissement d’un moteur.

Sarah regarda par la fenêtre. Robert était maintenant penché sur la tondeuse à gazon endommagée et levait les yeux vers le bruit familier du moteur arrière d’une Coccinelle VW décapotable d’époque qui entrait dans l’allée de Sam. Sarah ajusta sa vue de la fenêtre pour apercevoir voir la meilleure amie de Sam derrière le volant. « Hé, Maddie ! » cria Sam. Madeline May, ou Maddie comme l’appellaient sa famille et ses amis (ou Maddie la marathonienne dans certains cercles), était une blonde sculpturale, championne d’État d’athlétisme, maître-nageuse, star de l’équipe d’athlétisme, étudiante d’honneur, rat de bibliothèque et un peu excentrique. Elle n’avait pas l’air d’une sportive, et ne ressemblait pas non plus à une geek. En réalité, Maddie ressemblait à un top model tchèque appartenant à la jet set, le genre de fille que l’on voit sur Instagram en train de poser pour un maillot de bain à 600 dollars, sur le pont d’un yacht au large de la Croatie. Elle était, en un mot, éblouissante.

Robert était pris comme une biche dans les phares d’une voiture lorsque Maddie sortit de la Coccinelle, laissant tomber négligemment ses Wayfarer sur l’arête de son parfait petit nez, révélant ses yeux bleus d’acier perçants, « Comment ça va, Sammie ? » cria-t-elle. S’il avait de la peine à garder son sang-froid face à Sam alors qu’elle virevoltait dans la cour, il était à présent condamné à pratiquement péter les plombs dans son short avec les deux filles. Sarah sentit sa peau se réchauffer et l’arrière de son cou vibrer faiblement, sa chatte était maintenant humide. Elle passa à nouveau la main sous sa jupe et commença à frotter son clito très lentement en petits cercles précis. Sarah respira profondément et regarda par la fenêtre.

« Tu es toute en sueur », dit Sam à Maddie quand elle entra dans le patio. « Je viens de faire une course de 10 km. Il fait bien trop chaud pour ce genre de conneries. Je peux prendre une petite douche rapide chez toi ? » répondit Maddie. « Bien sûr ! On sortira après ! » dit Sam.

Maddie portait un short et des chaussures de course. Sa peau lisse et crémeuse scintillait au soleil tandis qu’elle dénoua la liasse de ses cheveux, blondis par le soleil, attachés en chignon. Ils lui arrivaient presque à la taille. Elle dégrafa son dossard, révélant ses petits seins, fermes et totalement alertes. Ses tétons pointaient fortement contre le tissu de son haut. Robert était à nouveau penché sur la tondeuse à gazon et manqua de tomber à la renverse lorsque Maddie sauta sur la pointe des pieds, puis se pencha complètement pour étirer longuement ses mollets et ses ischio-jambiers toniques. La clé à molette qu’il tenait cliqueta contre la tondeuse et les deux filles se tournèrent vers lui.

« Tu as besoin d’un coup de main champion ? » demanda Maddie.

Robert resta sans voix pendant un moment, puis il hocha la tête, se leva et ouvrit légèrement les bras, montrant ainsi qu’il avait abandonné le travail de réparation. Sarah les regarda tous les trois, le rythme de ses caresses s’accéléra légèrement, sa respiration devint plus rapide et sa chatte de plus en plus humide. Sam et Maddie se précipitèrent pour examiner la situation. Robert marmonna quelque chose que Sarah ne put comprendre. Maddie dit : « Je suis une putain d’étudiante en ingénierie, je dois pouvoir trouver une solution », en sortant son téléphone et en se glissant dans une chaise Adirondack, croisant une de ses longues jambes toniques sur l’autre et laissant échapper un soupir.

« Tu vas au yoga demain ? » demanda Maddie à Sam. « Oui. J’ai appris une nouvelle pose la semaine dernière. Regarde ça », répondit Sam. Sam s’installa sur l’herbe à côté de la tondeuse à gazon, les avant-bras fermement plantés devant elle, une jambe levée haut derrière elle, les orteils pointés vers le ciel. Le haut de Sam se resserra sur sa poitrine. Robert jeta un coup d’œil pour voir sa poitrine se soulever, ses seins géants se balançant sous elle ; ses aréoles acajou foncé étaient clairement visibles sous son débardeur encore humide ; ses gros tétons perçant presque le coton. Robert se tourna furtivement vers la maison. Sarah s’éloigna un peu de la fenêtre, puis regarda de nouveau attentivement à l’extérieur. Robert ajusta à nouveau sa queue, essayant de cacher son excitation. Les mouvements de Sarah étaient maintenant rapides et distincts. Elle travaillait son clito d’une main, tandis que de l’autre était sous son t-shirt et lui tripotait vigoureusement les tétons. Sa chatte semblait vouloir sortir d’elle-même à ce moment-là.

Maddie se leva de la chaise et balbutia quelque chose à propos d’un « deux temps ». Elle prit la clé à molette des mains de Robert. Elle s’avança vers Sam qui tenait toujours sa posture et plaça doucement sa main autour de la cheville de Sam. Avec l’autre main, elle toucha légèrement sa hanche. « Tu dois juste tirer un peu plus ici, chérie », dit-elle. Robert toussa légèrement et se frotta les sourcils. La sueur perlait sur son front et son short se resserrait autour de sa queue. Maddie s’approcha de la tondeuse à gazon en tenant la clé à molette. Elle frôla Robert, croisant son regard avec ses yeux bleus glacés. Elle marchait lentement mais sûrement et arborait un léger sourire en coin.

Robert faisait de son mieux pour se contenir, mais il était clair à présent que les filles étaient en train de jouer avec lui. Son cœur s’emballait dans sa poitrine, et sa bite continuait à palpiter dans son short. Il sentit une petite goutte de pré-cum sortit de son gland. Il pouvait à peine contenir son excitation. Sarah l’observait de loin, ses doigts faisant des heures sup’ sur son bouton d’amour, la sueur coulant sur son cou et tombant entre ses seins. Elle commença à gémir doucement. Elle regarda Maddie s’accroupir et bricoler le moteur, ses fesses parfaitement rondes et fermes exposées dans son short de course moulant. Robert baissa les yeux lorsque Maddie arqua le dos et actionna la clé : la fente de ses fesses apparut. Une petite goutte de sueur roulait dans le bas de son dos. Sam se pencha en face d’elle, les genoux pliés et les mains jointes, ses bras poussant ses énormes seins l’un contre l’autre. Robert regardait son décolleté.

Sarah poussa un faible cri, essayant de réprimer son excitation et de ne pas révéler sa position de voyeuse. Elle frotta frénétiquement son clito puis enfonça trois de ses doigts en elle, en se caressant vigoureusement. Elle jouit violemment et laissa échapper un gémissement. Sa chatte pulsa à plusieurs reprises et son jus se répandit abondamment le long de sa main. Ses genoux fléchirent légèrement et elle poussa un long soupir de soulagement.

Sarah entendit un moteur rugir. Elle jette un coup d’œil par la fenêtre et vit Maddie lâcher la corde de traction et donner la clé à Robert : la tondeuse était à présent en train de tourner. Les filles sont retournées chez Sam en direction de la porte vitrée coulissante du patio. « Et maintenant à la douche », s’exclama Maddie en retirant son haut sitôt franchi le seuil de la maison. Robert resta assis, stupéfait, n’apercevant que trop brièvement les seins parfaits, laiteux et fermes de Maddie avant qu’elle ne disparaisse. Il éteignit la tondeuse et rentra dans le garage.

Sarah quitta la chambre et prit un glaçon dans le congélateur avant de se diriger vers le garage. Elle le pressa fermement contre sa poitrine, puis le fit glisser doucement de haut en bas entre ses seins. Elle ouvrit la porte du garage et mit le reste du glaçon dans sa bouche. « Salut bébé, Quand es-tu rentrée ? » lui demanda Robert. « Je viens juste de sortir de la douche. Tu as tondu la pelouse ? » dit Sarah. « Pas encore », bégaya-t-il, « j’ai eu quelques, euh, soucis mécaniques ». Sarah s’appuya contre le capot de la voiture de Robert. Ce dernier s’approcha d’elle et elle baissa les yeux vers son short. « Bah ? Mais qu’est-ce qu’on a là ? » demande-t-elle en tendant la main et en traçant lentement du bout des doigts le contour de la bite de Robert, encore dure, à travers son short.

Robert retourna Sarah rapidement. Elle posa ses paumes sur le capot de la voiture et arqua son dos, levant son cul rond vers Robert. Elle sentit Robert remonter l’arrière de sa jupe. Elle l’entendit défaire la ceinture de son short puis le baisser rapidement. Elle sentit sa main puissante attraper sa hanche. Son autre main avait saisi son pénis qui entra dans dans Sarah en un mouvement fluide. Il se retira presque complètement, très lentement, puis il s’élança à nouveau vers l’avant, ses couilles et ses cuisses rebondissant sur Sarah. Les fesses de cette dernière frémirent en de petites ondulations. Elle s’appuya un peu plus contre le métal chaud de la voiture, sentant ses jambes légèrement faiblir.

Le rythme de Robert s’accentua et il attrapa Sarah fermement par les deux hanches, la tirant fortement vers lui et s’introduisant encore plus fort en elle. Sarah crut entendre quelque chose près du garage. Elle se crispa un peu, ses jambes et sa chatte se resserrant autour de Robert. Les poussées étaient plus rapides et moins profondes à présent, le haut de son gland frottant fermement et en rythme contre le point G de Sarah. Celle-ci avala sa salive de toutes ses forces et laissa échapper un long et profond gémissement. Robert expira de manière audible, avec un léger grognement, comme un joueur de tennis lançant dans un service puissant. Sarah entendit à nouveau quelque chose et regarda à l’extérieur du garage. Ses mains et ses bras en sueur glissaient sur le capot de la voiture et elle essayait de maintenir sa stabilité. Elle sentit le contrôle lui échapper alors que Robert continuait ses va et vient en elle, très rapidement et avec une précision métronomique. Elle se sentit faiblir et tout son corps se mit à picoter alors que l’orgasme explosait. Robert jouit comme un train de marchandises. Sarah sentit un flot de sperme jaillir de lui alors qu’il maintenant ses hanches fermement. Elle entendit plus distinctement un bruit de pas.

Maddie pénétra dans leur champ de vision alors que Robert essayait de remonter son short le plus rapidement possible, et que Sarah se levait, rabattant sa jupe sur elle. « Salut, est-ce que je n’aurais pas laissé mon téléphone ici ? » demanda Maddie. Elle s’approcha d’eux, ses cheveux fraîchement lavés, sa peau radieuse et lisse. Elle portait un body en dentelle et un short en jean avec des sabots. Elle secoua un peu la tête en s’approchant ; sa longue chevelure encore humide capta un peu du soleil de l’après-midi, l’odeur de son shampoing imprégna l’air. De près, elle était grande et toute en muscles allongés. Son regard était direct, glacial. Robert fouilla dans sa poche et sortit son téléphone. « Si, tu l’avais laissé sur la chaise dans la cour », lui dit-il. Maddie attrapa le téléphone avec ses longs doigts fins et le glissa dans la poche arrière de son short. Elle tourna les talons et s’éloigna à grands pas. Elle ralentit légèrement avant de sortir du garage et leur jeta un coup d’œil par-dessus son épaule. Maddie les regarda de travers, se mordit doucement la lèvre inférieure, ricana légèrement et s’en alla. Sarah expira profondément et relâcha ses épaules. Le plus gros de la décharge liquide de Robert s’écoulait hors d’elle, passant par ses lèvres et descendant à l’intérieur de ses cuisses. Elle s’assit sur le capot de la voiture et regarda Robert. Il se pencha doucement vers elle, souleva pour la replacer sur le capot et lui écarta les jambes. Il releva sa jupe et se pencha pour embrasser sa chatte. Il lécha lentement et longuement ses lèvres, puis pressa fermement sa langue contre sa vulve et commença à faire de petits cercles autour de son clitoris.

« Eh bien », se dit Sarah, « Pourquoi pas une troisième fois en effet ? »

Cette nouvelle érotique a été écrite en anglais et traduite par nos soins. Pour la découvrir dans sa version originale, c’est par ici.