7 Choses Étranges Qui se Passent dans le Corps Quand on Est Excité Sexuellement !

Vous avez sans doute déjà remarqué tout seul que lorsque vous êtes excité, votre respiration s’accélère, vous avez les jambes flageolantes, le pénis qui se met au garde à vous pour les uns et le vagin qui se détend pour les autres, les seins qui pointent, vos pensées qui deviennent confuses, votre animalité qui ressurgit en détruisant toutes les conventions sociales durement apprises, vous avez chaud, vous êtes comme aimanté par le corps adverse, plus rien d’autre n’a d’importance autour de vous…

Cela vous rappelle sans doute quelque chose. Mais lorsque le corps est excité, tout ce que nous venons d’évoquer ne représente que la partie émergée de l’iceberg… Car dans les méandres de votre anatomie et sans que vous n’en ayez conscience, il se déroule des événements autrement plus bizarres… Voici 7 de ces excitantes curiosités qui nous arrivent quand on est excité !

1) L’insensibilité

Cela peut paraître paradoxal, mais l’hyper excitation provoquée par le désir peut conduire à l’insensibilité de certaines parties du corps, comme à un engourdissement, voire une paralysie ! Cela arrive en général au niveau des mains ou du visage pendant la galipette. Cela s’explique en raison de la tension générale du corps à l’approche de l’orgasme. Une tension du corps certes agréable, mais réelle et intense ! Si vous perdez l’usage de vos mains ou de vos zygomatiques pendant la galipette, ne paniquez pas, vous êtes victime d’une éphémère et romantique immobilité de désir pré orgasmique.

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2) L’éternuement

Voilà une étrange manifestation du désir : l’éternuement ! Celui-ci arrive plus communément juste après l’orgasme. Ce phénomène est fréquent et serait lié à un dérèglement bénin du système neurovégétatif. Des scientifiques britanniques se sont penchés sur cette question érotico nasale en étudiant un patient qui éternuait systématique à chaque pensée sexuelle. Ils se sont rendus compte que ce « mal » touchait une bonne partie de la population. Cela fait une raison supplémentaire de garder toujours près de soi un paquet de mouchoir quand vient l’heure du plaisir intime…

3) Le clignement

Quand on est excité, on cligne beaucoup plus des yeux ! La nictation, terme scientifique du clignement d’œil, vise à maintenir nos yeux bien hydratés ainsi qu’à libérer nos larmes, de pleur comme de bâillement. La sexologue Tracey Cox explique que cette multiplication du clignement quand on est excité serait un moyen d’évacuer les éventuelles larmes provoquées par ce choc de l’envie voluptueuse… On peut donc, d’une certaine manière, pleurer de désir !

4) La tolérance du dégoutant

Les choses qui nous semblent habituellement répugnantes deviennent soudainement tout à fait tolérables quand on est excité sexuellement ! Une étude publiée en 2015 a démontré ce phénomène en faisant visionner des films pornographiques à des dames avant de leur présenter des photos de cadavres, d’excréments ou de vomis… Elles étaient moins dégoutées qu’à l’ordinaire ! Une autre étude publiée en 2012 avait déjà présenté le même genre d’expériences : des femmes qui venaient de regarder un film X étaient moins sensibles à la présence d’un insecte dans leur café ou moins dégoûtée de manger près d’un ver ou encore d’essuyer leurs mains avec une serviette usagée. Cela s’explique sans doute par instinct de survie : si tout ce partage de muqueuses qu’est le sexe nous répugnait, nous cesserions de nous reproduire !

5) Le courage

Non seulement plus rien ne nous dégoûte, mais en plus, on devient plus courageux ! La même étude parue en 2015 citée plus haut, qui confrontaient les demoiselles excitées aux images de vomis, a aussi démontré qu’elles étaient plus courageuses ! Les images effrayantes présentées par la même occasion les faisant rigoler. Loups, requins, incendies et tornades ne représentant plus rien quand on a l’esprit plein de stupre.

6) Les maux de tête

Quelques malchanceux voient apparaître systématique ce symptôme cruel quand ils sont d’humeur coquine : la migraine. Certains connaissent ces douleurs dans le crâne ou la nuque au moment où le désir monte quand d’autres ressentent ces douleurs désagréables au moment de l’orgasme… Même si ces maux ne sont pas dangereux pour la santé, ils peuvent néanmoins finir par refroidir les plus chauds lapins. Une injustice d’autant plus criante quand on sait que l’orgasme a la réputation contraire de pouvoir soulager la douleur !

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7) La tolérance à la douleur

Une implacable expérience menée sur de pauvres rats a démontré que ceux-ci criaient moins si on leur malmenait la queue après une petite stimulation vaginale… Une autre étude plus humaine avait permis par ailleurs de démontrer que les femmes supportaient deux fois mieux la douleur pendant qu’elles se masturbaient. Cette même étude avait également révélé que les femmes souffraient moins pendant l’accouchement si le bébé sortait en longeant le point G… Sans doute la situation où l’antidouleur est le plus utile. Il y a peu de chances que votre dentiste accepte votre technique étrange de soulagement de douleur pendant qu’il vous plombe une carie !

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Au cœur du corps

Le corps humain est un puits de surprise sans fin. La sexualité est à ce point complexe qu’elle recèle de trésors cachés comme ceux que nous venons d’évoquer. Une richesse bienvenue quand on sait qu’elle s’étend jusqu’aux confins de notre plaisir, avec une infinité de chemins plus étranges les uns que les autres qui nous mènent du commencement du désir à l’explosion extatique dans les sommets du septième ciel !