Byron – Fiction érotique

De récentes statistiques montrent que, sur l’ensemble des mariages et des relations à long terme au Royaume-Uni, environ 5 % pratiquent ce que l’on appelle la « non-monogamie éthique ». Les mariages ouverts, le polyamour et l’échangisme sont désignés dans les milieux concernés par le terme générique de « style de vie ».

Karl et Cecelia sont l’un de ces couples mariés qui pratiquent ce « style de vie ». Karl a 68 ans et en est à son troisième mariage. Il est un peu petit, mais il n’est pas inintéressant physiquement. Son âge n’est pas un obstacle à l’échangisme – les gens de tous âges jouant avec des gens de tous âges – et, ce qui lui manque en jeunesse, il le compense en expérience. Cecelia a 56 ans et en est quant à elle à son deuxième mariage. Elle est séduisante et dégage cet attribut insaisissable et indéfinissable qu’est le sex-appeal. Elle attire souvent l’attention des hommes qui savent le percevoir – y compris des hommes d’à peine vingt ans. Ils sont ensemble depuis 4 ans. Ils étaient tous deux dans le style de vie depuis un certain temps avant de se rencontrer. Ils se sont d’ailleurs rencontrés par l’intermédiaire d’un site web consacré au style de vie. Il était tout à fait naturel qu’ils poursuivent ce style de vie une fois mariés.

Comme beaucoup de couples adeptes du « style de vie », ils sont particulièrement proches et aimants, avec un niveau de sécurité uniquement atteignable avec une honnêteté totale qui vient avec la non-monogamie. Chacun sait qu’il est le numéro un de l’autre, quelles que soient les autres personnes avec lesquelles l’autre pourrait s’amuser.

L’une des petites difficultés auxquelles sont confrontés les adeptes de ce mode de vie est de savoir comment entrer en contact avec des personnes partageant les mêmes idées. Le site web qui a réuni Karl et Cecelia semble être un bon point de départ pour eux, mais dans la pratique, beaucoup des personnes qui y figurent ne sont pas ce qu’elles prétendent être. Depuis leur rencontre, les incursions sur le site se sont généralement révélées décevantes pour différentes raisons. Il existe également un certain nombre de clubs échangistes dans tout le pays et Karl et Cecelia sont membres de plusieurs d’entre eux. Cependant, la distance à parcourir peut être assez longue et, bien qu’ils aient eu de très bonnes expériences dans les clubs, d’autres ont été décevantes.

L’implication d’amis ou de collègues de travail n’est généralement pas souhaitée en raison des complications potentielles. Ceux qui ne pratiquent pas ce style de vie sont qualifiés de « vanille » et ignorent généralement tout des activités échangistes de leurs amis.

Mais de temps en temps, un inconnu attire leur attention, et voici l’histoire d’une de ces rencontres. Tout commence dans un supermarché.

Karl et Cecelia étaient en train de faire leurs courses hebdomadaires – une tâche assez banale. À un moment donné, ils se séparent, lui pour aller au rayon des viandes et elle pour se diriger vers celui des légumes.

Lorsqu’il revient vers elle au bout d’une minute, Karl fut surpris (ou non) de voir Cecelia en plein conversation avec un gentleman. Il avait l’air d’avoir dans les soixante-dix ans, mince, bien habillé, avec une étincelle particulière dans les yeux. Il était clair que Cecelia appréciait son attention et les deux discutaient amicalement.

Lorsque Karl rejoignit sa femme, le gentleman sembla faiblir. On aurait dit qu’il avait supposé que Cecelia était seule. Il semblait surpris par l’apparition d’un partenaire. Il allait mettre fin à la conversation, mais Karl se mit à bavarder avec lui et la conversation reprit.

Au bout d’une minute, Karl s’adressa à Cecelia. Regardant le chariot, il dit à Cecelia : « Je ne sais pas si j’ai envie de cuisiner ce soir. Que dirais-tu d’un plat à emporter ? » Cette phrase était un code entre Karl et Cecelia. Elle signifiait « As-tu envie de t’amuser avec une ou deux personnes en plus ? ». Cecelia regarda Karl et jetta un bref coup d’œil à l’homme. « Oui, ça me plairait », dit-elle.

Karl se tourna alors vers l’homme. « Nous pensons aller boire un verre de vin une fois nos courses terminées. Est-ce que vous aimeriez vous joindre à nous ? Je m’appelle Karl et voici ma femme Cecelia. » L’homme s’arrêta un instant, puis regarda à nouveau Cecelia. « J’en serais ravi. Je m’appelle Byron. » Les trois convinrent d’un rendez-vous un peu plus tard chez Arturo, un négociant en vins haut de gamme, doté d’un petit jardin où l’on servait du vin au verre.

Pendant la demi-heure qui précéda le rendez-vous, Karl et Cecelia discutèrent de la manière dont ils comptaient séduire leur nouvel ami.

Ils arrivèrent ensemble et entrèrent dans le magasin. Cecelia était une afficionada du vin et fut ravie de constater que Byron s’y intéressait également et même qu’il s’y connaissait. Karl ne prétendit pas égaler leurs connaissances et les laissa bavarder un moment, tandis que diverses bouteilles attiraient leur attention. Ils se dirigèrent dans le jardin et s’assirent à une petite table dans un coin tranquille. Karl s’assit d’un côté, et Cecelia s’assit à côté de Byron de l’autre côté.

Le vin coulait à flot, tout comme la conversation. Byron était intéressant et s’exprimait bien, et les deux comparses appréciaient sa compagnie. Il leur a dit qu’il avait été heureux en ménage pendant 35 ans, mais que sa femme était morte quatre ans plus tôt. Il lui avait fallu beaucoup de temps pour s’en remettre. Il leur avoua que Cecelia était la première femme qu’il avait approchée depuis. Il leur révéla qu’il la trouvait séduisante. Ses enfants étaient grands et il vivait seul.

Karl sut exactement à quel moment Cecelia avait agi. Ses mains étaient restées sur ses genoux, sous la table, pendant un certain temps. Byron était au milieu de sa phrase quand il s’interrompit soudainement et rougit. Il reprit rapidement le fil de sa conversation, mais semblait en proie à une certaine agitation. Karl savait que sa femme avait posé sa main sur la jambe de Byron et qu’elle la remontait lentement le long de sa cuisse. Karl regarda Byron dans les yeux et sourit. Il dit : « Je sais ce qu’elle est en train de faire, Byron. Ne vous inquiétez pas. C’est ok. »

Byron se retourna et laissa échapper un long soupir. Il regarda Cecelia qui se pencha vers lui et embrassa sa bouche, taquinant ses lèvres avec sa langue. Le jardin était vide et il n’y avait personne pour les voir. Elle l’embrassa pendant un moment, sa main était finalement arrivée là où elle voulait aller et frottait sa bite à travers son pantalon. Il gémit doucement. Ils se décollèrent et Cecelia reposa ses mains sur la table. Karl et elle mirent alors Byron au courant de leur « style de vie ».

Il resta assis en silence, peinant à croire ce qui lui arrivait. Cecelia se pencha vers lui et l’embrassa à nouveau, cette fois-ci en prenant la main de Byron et en la posant sur sa cuisse nue sous sa jupe. Il lui caressa la jambe, mais s’arrêta devant sa culotte. Cecelia mit fin au baiser. Elle regarde les deux hommes. « Je crois qu’il faut qu’on se retrouve dans un endroit plus propice », dit-elle. Byron regarda Cecelia puis Karl, puis de nouveau Cecelia. « J’ai une bouteille de Malbec argentin 2020 à la maison » dit-il. « Voudriez-vous la partager avec moi ? »

Il leur donna son adresse et les quitta. Ils restèrent là un moment à se sourire et à discuter gentiment, en finissant leur vin. Ils gardèrent ensuite le silence pendant un petit moment, puis Cecelia dit : « Karl, Byron n’a pas eu de relations sexuelles depuis quatre ans. C’est une rencontre à très faible risque. Que dirais-tu si je te disais que je veux le baiser sans capote ? » Karl était surpris. Ils avaient une règle stricte selon laquelle toute relation sexuelle avec une autre personne était forcément protégée. Mais après un moment de réflexion, il dit : « Je suis d’accord, il est aussi sûr que possible. Si c’est ce que tu veux, alors vas-y. En fait, l’idée m’excite. Alors, oui. Fais-le. »

Ils quittèrent le restaurant d’Arturo et se rendirent à l’adresse indiquée. Une petite maison mitoyenne dans une rue calme et verdoyante. Un petit jardin devant la maison était impeccablement entretenu. La pelouse était tondue et uniforme, les bordures étaient bien droites et entourées sur trois côtés de fleurs d’été. Pas une seule mauvaise herbe n’avait pointé.

Byron ouvrit la porte. Il était tout propre, bien coiffé et il s’était changé. Il portait un pantalon pâle, une chemise simple et, surtout, une cravate bordeaux. Une odeur agréable, mais subtile, émanait de lui. Il les fit entrer dans sa maison. Comme le jardin, la maison était soignée, ordonnée, bien rangée et d’une propreté irréprochable. Ils passèrent dans le salon où se trouvait une petite table basse sur laquelle trônaient une bouteille de vin rouge entamée et trois verres. Derrière la table, un canapé en cuir à trois places.

La pièce était chaleureuse et lumineuse. Karl se tourna vers Byron. « Je ne voudrais pas vous offenser, mais je vais décliner le vin. Si c’est un très bon vin, ça serait du gâchis de m’en donner. Je le laisse aux véritables afficionados. » Cecelia avait attrapé la bouteille et examinait l’étiquette. « C’est un bon vin », dit-elle. « Mais si vous avez du porto, Karl sera ravi. » Byron sortit de la pièce et revint avec un verre de liquide rouge foncé qu’il tendit à Karl.

Cecelia se dirigea vers le canapé et s’assit au milieu, faisant signe aux deux hommes de la rejoindre de chaque côté. Ils s’assirent et prirent tous les trois une gorgée, puis posèrent leurs verres. Cecelia se tourna vers Byron et l’embrassa lentement. Cette fois, il n’eut pas besoin d’être encouragé et passa sa main sous l’ourlet de sa jupe, caressant sa jambe. Elle mit fin au baiser et se retourna pour embrasser son mari.

Pendant qu’elle embrassait Karl, Byron remonta sa main un peu plus haut et se mit à frotter doucement sa chatte à travers sa culotte qui commençait déjà à être mouillée. Elle se détacha de Karl et regarda Byron. « Je suppose que votre chambre est à l’étage ? » Prenant leurs verres de vin, Byron les conduisit tous les deux à l’étage dans une chambre à coucher. Les rideaux étaient fermés mais il faisait encore clair, et le soleil éclairait le grand lit par une petite ouverture dans les rideaux.

Ils posèrent leurs verres sur la table de nuit. Cecelia s’approcha de Byron et l’entoura de ses bras en l’embrassant. Elle recula légèrement et ouvrit le pantalon de Byron. Son érection était telle et son sexe tellement dur que dégager sa bite de son pantalon fut un peu difficile. Après quelques secondes, elle la tenait enfin dans sa main. Elle décalotta doucement le prépuce, révélant le gland luisant. Elle le branla doucement deux ou trois fois jusqu’à ce qu’elle sente un peu de pré-cum. Se rendant compte qu’il était sur le point de jouir, elle relâcha son emprise et l’embrassa à nouveau.

Karl s’était mis derrière elle, l’enlaçait et la caressait pendant qu’elle embrassait Byron. Karl passa ses mains sous sa jupe, le long de ses jambes et jusqu’à l’élastique de sa culotte. Il y accrocha ses pouces et la fit descendre le long de ses jambes jusqu’au sol, où elle l’enleva, tout en continuant d’embrasser Byron passionnément.

Cecelia s’éloigna des deux hommes et s’adressa à eux.

« Je crois qu’il est temps que vous me déshabilliez tous les deux », dit-elle. Les hommes ne se firent pas prier deux fois. Ensemble, ils lui enlevèrent habilement ses vêtements, la laissant nue. Elle se dirigea vers le lit et s’allongea, gardant timidement ses jambes jointes. Elle était d’une beauté sans pareille. Elle regarda les hommes. « Maintenant, c’est à votre tour », leur dit-elle.

Les deux hommes se déshabillèrent complètement et se tenaient devant elle avant de la rejoindre sur le lit, Carl à sa droite, Byron à sa gauche.

Ils étaient tous les deux en érection et Cecelia prit une bite dans chaque main, les branlant tous les deux doucement. Ils l’embrassèrent tous les deux, puis commencèrent à embrasser et à caresser son corps avec leurs bouches et leurs mains. Sa bouche, son cou, ses seins, son ventre, ses cuisses, chaque parcelle de son corps reçut leur attention, mais elle a gardé ses jambes serrées. Au fur et à mesure que leurs mains la caressaient, les deux hommes se touchaient l’un l’autre.

Byron regarda Karl et lui dit : « Je n’ai jamais touché la bite d’un autre homme que la mienne ». « Je peux ? » demanda-t-il en faisant un geste vers l’érection de Karl. Karl acquiesça et s’agenouilla face à Byron. Byron s’agenouille également et prit Karl dans ses mains pour le branler doucement. Karl rendit la pareille à Byron et les deux hommes se branlèrent l’un l’autre pendant un certain temps. Cecelia était fascinée. Elle aimait regarder deux hommes jouer ainsi l’un avec l’autre.

Karl recula un peu et s’agenouilla pour prendre Byron dans sa bouche.

Karl n’était pas gay, ni même bi, mais il savait à quel point cela excitait Cecelia, et il suça et branla Byron sous le regard adorateur de Cecelia. Byron commença à tressaillir et Karl se rendit compte qu’il était sur le point de jouir.

Il n’aimait pas que les hommes jouissent dans sa bouche, et il voulait aussi que Byron, sans capote, jouisse plus tard au plus profond de Cecelia, alors il s’arrêta, et les deux hommes se remirent à embrasser et caresser la dame.

Le fait de voir les deux hommes jouer l’un avec l’autre avait détendu les cuisses de Cecelia, qui étaient maintenant écartées. Karl fut le premier à passer sa main entre les deux. Il trouva sa chatte trempée et fit glisser son doigt de l’entrée de son vagin jusqu’à son clitoris.

Il savait exactement comment lui faire plaisir et commença à faire de petits mouvements circulaires sur le bouton glissant qui, il le savait, lui plaisait. Byron connaissait lui aussi son chemin. Il descendit sa main et glissa facilement un doigt à l’intérieur, caressant de temps en temps ses lèvres intérieures humides, et sondant brièvement plus profondément. Il trouva son point G, cette zone légèrement rugueuse de la taille d’un timbre-poste, juste sous et derrière son pubis, et commença à la frotter. Les deux hommes continuèrent ainsi, Cecelia gémissait et haletait de plaisir.

« Continuez comme ça tous les deux. N’arrêtez pas », dit-elle en haletant. Les deux hommes firent ce qu’on leur demandait, conscients du plaisir qu’elle éprouvait.

Pendant quelques minutes, ils continuèrent, les hommes silencieux, elle haletant et gémissant de plaisir. Elle commença à se tortiller et à tortiller ses hanches, ses yeux se fermèrent, sa respiration s’accéléra. Et puis elle craqua. Elle poussa un petit cri et son corps tout entier fut secoué de spasmes, tandis que son orgasme commençait.

Cela dura encore et encore, les deux hommes relâchant leurs frottements tandis qu’elle criait de plaisir. Au bout d’une minute, elle se calma et resta allongée, rassasiée. Les deux hommes se remirent à caresser gentiment son corps, tandis qu’elle redescendait doucement et lentement. Ses yeux s’ouvrirent et elle les regarda l’un après l’autre. Elle embrassa l’un, puis l’autre, en souriant.

Les sexes des deux hommes étaient durs et en érection. Elle prit leurs bites, une dans chaque main, et les branla doucement pendant un moment, en faisant attention de ne pas aller trop loin. Elle regarda Byron dans les yeux. « Allonge-toi sur le dos » lui dit-elle.

Byron s’installa au milieu du terrain et se coucha sur le dos.

Cecelia se mit à cheval sur lui. Karl remarqua que sa mouille était si abondante qu’elle coulait le long de l’intérieur de sa cuisse gauche.

Il regarda avec fascination sa femme prendre la bite nue de Byron et la faire glisser facilement en elle. Il regarda son gland luisant s’y enfoncer, suivie de la tige. Alors qu’elle le chevauchait, montant et descendant sur son sexe à chaque coup, il vit à quel point sa chatte mouillait sa bite.

Il jouit rapidement. Cecelia sentit la chaleur de son sperme se répandre en elle tandis qu’il gémissait et s’abandonnait au plaisir. Elle resta sur lui pendant un petit moment, le temps qu’il se calme. Puis, lorsqu’elle descendit, Karl vit le sperme couler des lèvres de sa chatte sur le ventre de Byron. Byron se mit sur le côté du lit et Cecelia se mit à quatre pattes au milieu du lit. Karl se plaça derrière elle, entre ses jambes et positionna la tête de sa bite raide à l’entrée de son sexe.

Il pouvait voir les fluides combinés de Byron et de sa femme s’écouler d’elle et glisser à l’intérieur de ses cuisses. Il tremblait de désir. Il la pénétra rapidement. La sensation était incroyable. Il jouit en quelques secondes. Elle sentit à nouveau la chaleur se répandre en elle tandis que son mari jaillissait en elle. Son orgasme s’estompa. Il regarda Byron qui était toujours en érection. Karl se retira et s’éloigna.

Cecelia gémit.

Elle ne dit rien d’autre que « Encore ». Byron prit la place laissée vacante et la pénétra à nouveau, cette fois par derrière.

Cette fois, il dura plus longtemps, tandis que Cecelia serrait ses mains en poings, en proie à l’extase. Elle était maintenant agenouillée en diagonale sur le lit et Karl se mit en position afin de pouvoir l’embrasser pendant que Byron la baisait. Pendant qu’ils s’embrassaient, Karl pouvait sentir chaque pousséé ; sa femme gémissait, jusqu’à ce qu’il entende Byron jouir à nouveau. Byron se retira et Cecelia roula sur le dos.

Elle regarda son mari dans les yeux. « Baise-moi encore », murmura-t-elle. Il se glissa entre ses cuisses, remarquant à nouveau le flot de liquide qui s’écoulait d’elle. Il la baisa à nouveau, de façon moins pressante et plus lente qu’auparavant, jusqu’à ce qu’il jouisse à nouveau.

Ils restèrent tous les trois allongés pendant quelques minutes, les deux hommes respirant calmement et Cecelia éprouvant de petites répliques de plaisir sexuel, comme de petits tremblements de terre. Une fois calmés, ils s’assirent dans le lit, reportant leur attention sur le vin et discutant tranquillement. Au bout d’une heure, une fois le vin consommé, les deux hommes baisèrent à nouveau Cecelia, langoureusement, l’un après l’autre, avant de se lever et de s’habiller.

Karl et Cecelia rentrèrent chez eux en voiture. Ils étaient silencieux. Cecelia prit la parole. « J’en veux plus, emmène-moi au club. » Karl sourit. « Bien sûr », dit-il.

Mais ceci est une autre histoire.

 

* Cette fiction érotique a été écrite en anglais par Donna Turner. Pour la lire dans sa version originale, c’est par ici.