La Véritable Histoire de Sandrine Dion

La Véritable Histoire de Sandrine Dion – Partie 2

 

Sandrine se remettait doucement de l’orgasme délicieux. La langue experte de son amie Marianne ne ratait jamais son coup. Les deux jeunes femmes étaient allongées côte à côte dans le lit, à contempler le plafond en se remettant de leurs émotions, quand des bruits provenant du rez-de-chaussée les sortirent de leur rêverie.

La Véritable Histoire de Sandrine Ion

– Elles sont rentrées !

Sandrine avait prononcé ces mots avec un désespoir qui l’étonna elle-même, elle savait bien que sa belle-mère et ses deux belles sœurs finiraient par revenir. En revanche, ce qui était plus surprenant, c’est que les trois femmes semblaient chuchoter, elles qui n’avaient pas peur d’habitude de réveiller Sandrine quand elle dormait.

Avec son amie, elles se faufilèrent en haut des escaliers pour essayer d’entendre la conversation. Au milieu de bribes de mots qu’elles ne saisissaient pas, elles notèrent qu’il y avait également une voix d’homme. Sandrine ne pouvait pas le voir, mais elle était certaine de ne pas reconnaître la voix.

Le petit groupe se dirigea vers la cave et sitôt que la porte se referma, Sandrine entraina son amie Marianne dans les escaliers. Depuis la cuisine, un soupirail permettait d’espionner ce qui se passait dans le sous-sol aménagé de la maison.

Elles virent les deux sœurs assises dans le canapé et gloussant bêtement tandis que la belle-mère et l’inconnu s’entretenaient à quelques mètres. L’homme était imposant, une allure de rugbyman avec un visage inquiétant, strié de cicatrices. Il était beau malgré les blessures, doté d’un charisme indéniable. Marianne donna un coup de coude à Sandrine et lui fit signe en souriant qu’elle le mettrait bien dans son lit. Sandrine se mordit la lèvre pour ne pas rire.

– Tu fais comme dans tes films Boris, je veux que tu leur montres comment on prend soin d’un homme. Et si ça fonctionne, je triple ton tarif.

– Comment tu définis « fonctionne » ?

– Et bien, si le Prince Georges tombe amoureux de l’une d’elles, qu’il en prend une avec lui à Londres, quoi ! Prouve-moi que t’es pas qu’une bite Boris, réfléchis, merde.

– Tu crois que si je baise tes filles, ça va faire venir le Prince Georges ?

– Ok, arrête de réfléchir, Boris, fais ce que je te demande. Je veux pas simplement que tu les baises, je veux que tu les guides, que tu leur montres comment on s’y prend avec le corps d’un homme.

Les deux sœurs dans le canapé se tortillaient dans tous les sens, prenant des poses obscènes, se pavanant devant Boris qui semblait être de marbre.

– C’est vous la boss.

Boris s’approcha du canapé et les deux filles gloussèrent de plus belle. Leur mère leur gueula de la fermer et de s’occuper du monsieur. Ce qu’elles s’empressèrent de faire.

Elles le tirèrent sur le canapé et chacune d’un côté, elles commencèrent à caresser les cuisses de l’homme à travers son jean et à remonter vers son pénis. Pendant ce temps, il les embrassait chacune leur tour pour se mettre en jambe. La belle-mère encourageait ses filles, en leur donnant des indications.

Puis l’une des deux sœurs ouvrit la braguette de Boris et un chibre immense et dur en sortit d’un coup. Marianne et Sandrine sursautèrent en même temps et elles auraient pu être découvertes si la surprise n’avait pas frappé les trois femmes dans le sous-sl de la même façon.

Le pénis de Boris était impressionnant. Bien droit, bronzé, à la fois long et large, et les cinq femmes ne parvenaient pas à détacher leur regard. Pour se sortir de sa propre torpeur, la belle-mère finit par lancer :

– Vous attendez quoi ? qu’il s’envole ?

Aussitôt, les deux femmes se précipitèrent pour prendre le sexe dressé dans leur bouche et leurs fronts se cognèrent. La belle-mère jura tandis que Sandrine et Marianne se retenaient de rire.

Boris décida de prendre les choses en main. Il attrapa la tête d’une des sœurs et l’accompagna jusqu’à son pénis. Il lui dit de sortir sa langue et de faire le tour de son gland. Elle s’exécuta et le visage de Boris s’éclaira. Il lui indiqua comment descendre le long de la hampe, titiller le frein puis engloutir complètement le sexe. La tête de la jeune fille faisait des va-et-vient sur l’énorme sexe et il semblait qu’elle maitrisait à présent l’exercice.

La belle-mère demanda alors à la seconde sœur de s’y mettre à son tour. Elle reproduisit donc les mêmes mouvements de langue, de va-et-vient et Boris semblait satisfait.

Sandrine remarqua que Marianne se léchait les lèvres, cachant difficilement son envie. Sandrine elle-même sentait une chaleur irradier son bassin. Elle ferma les yeux et imagina qu’elle prenait ce sexe dans sa bouche. La sensation était agréable, son clitoris l’appelait à nouveau.

Quand elle rouvrit les yeux, Boris était debout, il s’était débarrassé de son pantalon et de son caleçon. Il était en tee-shirt, son pénis dur prenant l’air. Les deux belles-sœurs le suçaient en cœur, léchant l’une le gland l’autre le scrotum, et Boris murmura à la mère que ses filles se débrouillaient bien. On pouvait passer à l’étape suivante.

Boris retira les hauts des deux sœurs et leur demanda d’enlever leurs jupes. Elles obéirent et se retrouvèrent en sous-vêtement, à attendre les ordres. L’une était aussi grassouillette que l’autre était maigrelette, leurs corps n’ayant comme principal attrait que la fraîcheur éphémère de leur jeunesse. Le tableau de ces deux jeunes femmes presque nues attendant devant ce chibre tendu était cependant excitant, et même la belle-mère s’épongeait maintenant le front.

Boris se mit à genoux et glissa une main dans chaque petite culotte. Presque aussitôt, les deux jeunes femmes s’immobilisèrent, comme pétrifiées de plaisir. On ne pouvait voir ce qu’il faisait de ses doigts derrière ces deux rideaux de coton, mais son expertise semblait fonctionner à merveille.

La sœur grassouillette retira son soutien-gorge et colla ses seins sur le visage de Boris qui les dévora goulument. La belle-mère félicita sa fille pour son initiative et encouragea la sœur à en faire de même. Celle-ci saisit alors le pénis tendu et le masturba doucement tout en profitant des caresses de Boris qui continuaient.

Comme elle entendit un soupir, Sandrine tourna la tête vers Marianne et découvrit qu’elle était elle-même en train de se masturber, les doigts plongés dans sa culotte, et les yeux à moitié révulsés. Elle sourit.

Boris retira les deux culottes et la sœur maigrelette se débarrassa de son soutien-gorge qui ne retenait presque rien. Il allongea les deux sœurs l’une sur l’autre et entama une danse linguale en faisant aller sa bouche d’un clitoris à l’autre.

Sandrine grimaça en découvrant les vulves de ses belles-sœurs. Celle de la grassouillette était entièrement rasée, laissant apparaître deux énormes lèvres violettes tandis que celle de la maigrelette était couverte de poils indisciplinés et abondants.

Mais le spectacle semblait au goût de Boris qui poursuivait son double cunnilingus. Sandrine grimaça à nouveau en apercevant les deux sœurs s’embrassant goulument et se caressant mutuellement sous le regard attendri de leur mère qui avait maintenant la main droite sous la ceinture, à se caresser à son tour.

Boris tourna la tête vers la belle-mère d’un air interrogateur, et elle lui fit signe qu’il pouvait y aller. L’homme tira la sœur grassouillette qui était au-dessus par les jambes, écarta ses fesses sans ménagement et planta son énorme pénis dans son anus. Elle tenta de se débattre, cria qu’il s’était trompé d’endroit, mais Boris continua de s’enfoncer. Quand il fut au fond, elle était bouche ouverte, incapable de prononcer un mot, tétanisée. La sœur maigrelette, inquiète, interrogea sa mère du regard.

– C’est comme ça les filles, les hommes aiment prendre par le cul. Il faut que vous soyez préparées si le Prince Georges vous le demande.

Puis Boris entama doucement les va-et-vient en positionnant la grassouillette devant lui de façon à ce que la chose soit le plus agréable possible. Et bientôt, comme il savait y faire, elle se laissa aller, et une expression de béatitude apparut sur son visage, parfois stoppée par un éclair de douleur. Mais Sandrine entendait distinctement qu’elle marmonnait « encore, encore… »

Boris la sodomisait maintenant franchement et devant la bouche béante de la grassouillette d’où coulaient des fils de salive, la sœur maigrelette commençait à avoir envie de son tour.

Boris, se retira de la grassouillette qui s’effondra sur le sol, ivre de plaisir, et il entreprit la maigrelette. Comme sa sœur, elle commença par se défendre en sentant la douleur d’un tel pilon qui la transperçait, puis elle se radoucit au bout de plusieurs minutes et de l’expertise de Boris. De là où elle était, Sandrine avait une vue imprenable sur le pénis allant et venant dans cet anus entouré de poils, et l’idée du plaisir d’être pénétrée commençait à la titillée. Marianne avait peut-être raison après tout. Un pénis lui offrirait peut-être des plaisirs insoupçonnés…

Puis la belle-mère, la main toujours dans le pantalon, fit signe à Boris que c’était bon. Alors il se leva, laissant les deux sœurs pantelantes à ses pieds, et il se masturba au-dessus d’elles quelques secondes, jusqu’à les asperger de sa semence dans un râle satisfait.

– Désolé les filles, la nouvelle génération est nourrie au porno, le Prince Georges pourra avoir envie de vous mettre du foutre dans les yeux. Je sens que vous allez lui plaire.

Mais les deux femmes ne réagirent pas, béates de plaisir sur le sol de la cave.

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