Professeur/ Étudiante : un Fantasme au Bureau

Il était plus que temps que je lui révèle cette part secrète de ma personnalité. C’est ce que je me répétais en m’apprêtant à toquer à la porte du bureau de mon mari. Je m’étais reniée trop longtemps.

« Entrez » me répondit-il derrière la porte close. Je poussai la porte et le découvris assis derrière son bureau, enfoncé dans un fauteuil en cuir, plongé dans un livre. Il me regarda par-dessus ses lunettes et la surprise que je lus dans ses yeux bleus me provoqua un frisson d’excitation qui me parcourut l’échine.

« Harper ! Nous devions déjeuner ensemble ? »

J’humectai mes lèvres en avançant vers lui, les mains occupées à défaire la ceinture de mon manteau. Je ne pouvais contrôler leurs tremblements et j’espérais qu’il n’avait rien remarqué.

« Je suis venue vous parlez du devoir que j’ai rendu en retard, professeur » lui dis-je d’une voix douce et faussement innocente en m’approchant de son bureau. Ses sourcils étaient toujours levés et incrédules mais il m’adressa un clin d’œil.

J’avais retiré mon manteau, révélant ainsi la tenue sexy que je portais en dessous. Si cela peut être qualifié de tenue ! Je portais une toute petite jupe froncée qui suffisait à peine à couvrir mes fesses. Si je me retournais à présent, il aurait une vue imprenable sur l’endroit où mes cuisses s’unissent à mes fesses.

Mes seins étaient comprimés dans une chemise blanche moulante que j’avais remontée et nouée autour de ma taille. J’avais volontairement laissé 3 boutons ouverts. On pouvait ainsi apercevoir mon soutien-gorge en dentelle noire.

J’observais son regard parcourir mon corps de haut en bas et sa bouche s’ouvrir en grand. Est-ce qu’il pouvait deviner que ce n’était qu’un pauvre déguisement d’Halloween acheté sur eBay ? Est-ce qu’il me jugeait trop imprudente de venir ainsi m’offrir à lui dans son bureau ?

Son regard croisa finalement le mien. Et je n’y lus rien d’autre qu’un désir profond et électrique qui émanait de ses yeux bleus. Il s’humecta les lèvres en ajustant sa position dans son fauteuil après avoir claqué son livre, fermé, sur son bureau. Il se caressait le menton de ses longs doigts que j’aurais voulu sentir sur mon corps.

« En effet Mademoiselle Collins, me dit-il d’une voix rauque. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de vous ? Je suis dans l’obligation de vous infliger une punition à la hauteur de votre retard. »

Mon souffle s’est arrêté net dans ma gorge et mes orteils se sont recroquevillés dans mes talons-hauts à ces mots. Son regard intense ne me quittait pas et je n’osais pas détourner le regard en faisant le tour de son bureau.

J’ai appuyé ma hanche sur le bureau, lui donnant une bonne vue sur mes longues jambes. Son regard remontait le long de mes jambes et s’arrêta là où l’ourlet de la jupe commençait. Seuls quelques centimètres de ma peau étaient couverts. Alors que son regard s’attardait précisément à cet endroit-là, une douce chaleur naissait entre mes jambes.

« Je suis vraiment très peinée d’entendre ça, professeur, lui dis-je en battant des cils. Est ce qu’il n’y a vraiment rien que je puisse faire pour vous convaincre de repousser la date de remise de ce devoir ? Juste pour cette fois ? Je ferai n’importe quoi. »

Il a tourné sur sa chaise pour me faire face. Et je remarquai comme son pantalon semblait serré au niveau de l’entrejambe. Ce trésor qui était là, caché sous des couches de vêtements, faisait battre mon cœur à toute allure.

« N’importe quoi, vraiment ? me demanda-t-il. Je serais prêt à revenir sur la date de remise du devoir si vous acceptiez de me rendre un service. »

« Tout ce que vous voulez professeur » promis-je, presque sans voix.

Il a posé sa large paume sur ma cuisse. Ma peau brûlait sous cette caresse incandescente. Il fit aller et venir sa main doucement. Sans jamais monter plus haut que l’ourlet de ma jupe.

Je me mordis les lèvres et me retins de ne pas bouger les hanches, cambrer le dos tant le désir de sentir ses mains s’aventurer plus haut était fort. Le petit sourire narquois que je décelai sur son visage me fit réaliser qu’il avait très bien compris ce que sa caresse avait provoqué chez moi.

« Très bien. Il sourit en éloignant sa main et se recala dans son fauteuil. Pourquoi ne pas vous asseoir juste en face de moi et écarter les jambes ? »

J’obéis en glissant vers le milieu du bureau. J’étais à présent assise en face de lui. J’écartai immédiatement les jambes, lui donnant une vue imprenable sur ce que cachait à peine ma petite jupe : une mince bande de soie noire qui recouvrait ma vulve. Qui j’en étais certaine était déjà mouillée.

Le bleu de ses yeux devient plus foncé ce qui confirma mon impression. Il approcha sa main de moi, ses doigts effleurèrent le tissu humide et quelque chose comme un grognement s’échappa de ma gorge.

Je ne pouvais m’empêcher de gémir et de bouger mes hanches à son contact, alors que la pression s’intensifiait. J’avais du mal à me retenir de lui attraper la main pour qu’il me pénètre avec ses doigts.

« Je veux que vous vous touchiez toute seule. » Il y avait du défi dans son regard chargé d’audace qui fit bondir mon cœur.

Harper Collins, épouse d’un professeur à l’université d’Holton, ne serait pas capable d’une telle chose !

Mais j’étais aussi cette Harper Collins là. Enfin non, j’étais Harper, une étudiante qui rendait sa dissertation très en retard et qui allait coucher avec son professeur pour rattraper sa faute.

Sans plus réfléchir, j’activais ma main entre mes cuisses, pressant un doigt sur mon clitoris. C’était chaud. Je soupirais de plaisir à chaque passage (même à travers ma culotte).

Ses yeux étaient à présent rivés sur la main qui bougeait entre mes jambes. Les miens restaient concentrés sur son visage. J’adorais voir son visage se tordre sous le coup du plaisir intense ; son regard s’obscurcir, chamboulé par ce que les mouvements de ma main provoquaient chez lui.

Une chaleur m’envahit. Dans les jambes. Dans le ventre. Mes fesses elles-mêmes était brûlantes. Je glissai un doigt sous la dentelle de ma culotte pour toucher mon clitoris, sans barrière textile.

Je levai une jambe et plaçai mon pied sur l’un des bras du fauteuil. Son regard descendit de mon entrejambe vers mon pied puis revint vers l’endroit où ma deuxième main avait rejoint la première. J’utilisai un de mes doigts pour des mouvements de pénétration dans mon vagin.

Mon esprit avait commencé à dériver. J’avais fermé les yeux, renversé ma tête en arrière et je me laissais doucement glisser dans ces vagues de plaisir. Je geignis et me mordis les lèvres à l’approche d’une vague plus intense. J’étais prête pour l’orgasme.

« Stop.” Sa voix était rauque et cassante. Il s’agissait d’un ordre. Impossible de ne pas y obéir.

Les mains toujours sur ma vulve, le plaisir refluait lentement. J’ouvris les yeux pour les plonger dans son regard intense. Il serrait ses mâchoires tellement fort que je vis un muscle de sa joue se contracter. Je retirai mes mains et les posai sur le bureau.

« Très bien, murmura-t-il. À présent, est-ce que vous savez ce qui me ferait réellement plaisir ? »

« Non professeur, dites-moi » lui répondis-je en cambrant le dos.

« Je pense qu’il serait juste que vous soyez punie pour votre retard. Qu’en pensez-vous Mademoiselle Collins ? » Il se leva, fit le tour de la table et s’approcha du mir où était accrochée une grande règle en bois.

Cette règle était un cadeau de l’université pour son 10e anniversaire en tant que professeur de mathématiques. Une pièce en bois de chêne, faite à la main. Elle quittait rarement ce mur où elle trônait fièrement.

« Tournez-vous et placez vos mains sur le bureau Mademoiselle Collins, m’intima t-il. Sans un mot, je m’exécutai. Ainsi positionnée, il avait un accès direct à mes fesses.

Il refit le tour du bureau et se plaça derrière moi sans un mot.

He walked around the desk and stood behind me in silence. J’étais submerge par l’anticipation du moment à venir, par l’excitation, par un soupçon de honte. Sans un mot ni un mouvement, j’attendais la suite.

Il caressa l’une de mes fesses de la main, la pressa légèrement avant de lui administrer une petite claque. Je me tendis vers l’avant. L’une après l’autre, les fessées s’enchaînaient. Mais soudain, à la place de sa main, c’est la règle en bois qui officiait à la place de sa main.

Je gémis. Une fois de plus, une chaleur s’était installée dans mon corps. Depuis la base du cou jusqu’aux fesses. Mes fesses me picotaient, me faisaient presque mal. Cela n’empêchait en rien la chaleur de grandir entre mes cuisses.

« Envisagez-vous de continuer à me rendre vos dissertations en retard Mademoiselle Collins ? » me dit-il gentiment en me caressant les fesses.

« Non professeur » lui répondis-je en haletant.

Il laissa échapper un gloussement. Puis, m’administra une nouvelle fessée qui m’envoyant des décharges de douleur dans tout le corps.

« Je ne vous crois pas Mademoiselle Collins. Il va falloir être plus convaincante. »

Il caressa une nouvelle fois mes fesses avec ses mains. Ses mains douces et réconfortantes. Je posai mes mains bien à plat sur le bureau et cambrai le dos.

« Je vous promets que je ne rendrai plus jamais rien en retard professeur » lui dis-je d’une petite voix.

Il claqua la règle sur le bureau à côté de moi et la laissa là. Ses mains s’étaient emparées de mes hanches et m’avaient tournées vers lui. Alors que j’étais penchée sur le bureau, il avait réussi à enlever sa chemise blanche, révélant ainsi ses épaules bronzées et son ventre musclé. Je contemplai son corps. Une vue fort agréable dont je n’avais pas profité depuis longtemps.

Ses mains parcouraient mon corps, glissant de ma taille à mes hanches, recherchant mes seins tendus. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il les avait libérés de ma chemise serrée et ses doigts avaient dégrafé mon soutien-gorge.

Il baissa la tête pour prendre l’un de mes seins dans sa bouche. Il gémit et je l’imitai au fur et à mesure que les vagues de plaisir envahissaient mon corps. Je le laissai faire de moi ce qu’il voulait, me coulant dans ses bras alors que sa langue s’affairait à sucer, lécher et effectuer de petits cercles autour de mes tétons.

Je sentais son sexe durci cogner contre ma cuisse. Je glissai une main entre nos deux corps. J’avais envie de le prendre en moi. Je dézippai la fermeture éclair de son pantalon et y glissai la main. Il se redressa, abandonnant ainsi mes seins.

Je plaçai ma main autour de son sexe bien dur, lui arrachant un autre soupir. Sa peau était chaude. Je fis glisser ma main de haut en bas en le serrant fort. C’est ainsi qu’il aimait être masturbé.

Il approcha ses hanches de mon corps et ses mains agrippèrent mes fesses. Il me tenait tout contre lui. Je déglutis. Les battements de plaisir entre mes jambes devenaient compliqués à supporter.

Je le voulais en moi.

De mes mains tremblantes, je baissais son pantalon, libérant son sexe. Sans plus attendre, je m’assis sur le bureau, approchai son corps du mien. Il guida son sexe vers ma vulve.

Il m’attrapa le menton, plongea son regard dans le mien et me maintint ainsi alors qu’il s’introduisait en moi. Tout mon corps tremblait. Il se mit à sourire alors qu’il commençait ses mouvements de va et vient, sans jamais détourner le regard.

J’étais toute rouge, envahie par un trop plein d’émotions et de plaisir, à sa merci. Sur son bureau, il me pilonnait. Doucement et régulièrement puis plus profondément, cherchant à atteindre le fond de mon vagin.

Je gémis et haletai. La chaleur entre mes jambes grandissait en même temps que la tension dans mon corps. Il m’agrippa encore plus fort, me rapprocha de lui augmentant ainsi la profondeur et l’intensité de la pénétration. J’étais sur le point de succomber.

Quand le plaisir s’empara de moi, je peinai à étouffer un cri dans ma gorge. Heureusement, il plaqua sa main devant ma bouche, juste à temps pour éviter que le son se propage. Il me prit dans ses bras. J’étais tremblante de plaisir.

« Chuuut. Vous n’avez sans doute pas envie que quelqu’un découvre vos activités extra-scolaires, n’est-ce pas Mademoiselle Collins ? » me dit-il en retira sa main de ma bouche. La seule chose dont j’étais capable fut d’acquiescer silencieusement.

Une fois calmée, il reprit son va et vient dans mon vagin, poussant son sexe au plus profond de moi, à la recherche de son propre plaisir. Je l’arrêtai en posant une main sur son torse.

Ses sourcils se soulevèrent, interrogatifs alors que je le repoussai. Il ne dit rien et se laissa tomber dans son fauteuil, le sexe toujours dressé. Je glissai du bureau (y laissant une trace humide) et m’installai à genoux devant lui.

Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas eu dans ma bouche. Et l’accueillant ainsi pour la première fois depuis bien longtemps, je ne trouvais pas de raison valide à cela. Je gémis sur son sexe et ses yeux roulèrent de Plaisir, la tête appuyée sur le dossier du fauteuil.

Je le léchais de haut en bas avec ma langue comme si c’était la meilleure chose à laquelle je n’avais jamais goûté. Ma main saisit la base de son pénis, le tordant et pressant tout en continuant à le lécher et le sucer jusqu’à ce que son membre s’assombrisse et que je vois les veines y pulser.

Il souleva ses hanches et je pris alors son sexe entier dans la bouche le laissant titiller le fond de ma gorge. Il gémit. Je répétai l’opération encore une fois ? Tout son corps se tendit avant qu’il n’éjacule dans ma bouche. Je continuai à sucer et embrasser son sexe, la bouche remplie de ce liquide au goût salé.

Abandonnant son sexe repu et me relevant, mon regard a croisé le sien. Je me suis léchée les lèvres avant de lui dire :

« J’espère que cela vous a plus professeur » en posant une main sur sa cuisse.

Il me caressa la joue d’une main :

« Vous n’avez pas idée à quel point Mademoiselle Collins. »

Je lui souris. Il me rendit mon sourire, ce qui me fit chaud au cœur. La liste de mes fantasmes était longue. J’allais pouvoir rayer le 1er d’entre eux et passer prochainement à la suite.

 

**Cette nouvelle a été traduite de l’anglais d’après un texte écrit par Karolina Wilde. Vous pouvez découvrir le texte en version originale ici.