Promenade sur la Falaise – Fiction érotique

Nous étions assis sur un banc et regardions Mable, notre labrador, s’approcher des touristes profitant de leur pique-nique. C’était notre rituel des jours de congé – après des jours de travail intenses, nous avions décidé de rejoindre la côte – près des falaises de préférence – pour nous retrouver et nous détendre au son des vagues et des mouettes dont nous redoutions les fientes ! Le soleil reflétait la lumière de la mer bleue bien au-delà des falaises – nous étions hypnotisés par son scintillement.

Une brise marine se leva, provoquant involontairement un raidissement chez moi. Je regardais nerveusement autour de moi car je m’étais mis dans l’esprit de cette journée en portant un short. Pour le dire autrement, j’avais vraiment fait un effort car l’alliance des shorts et de ma personne était loin d’être naturelle. Le temps s’était rafraîchi avec la tombée du jour ou les nuages noirs menaçants qui se déplaçaient d’ouest en est le long de la Manche et qui arrivaient droit sur nous !

« On dirait que tu as froid, chéri, n’est-ce pas ? » Sandra se tenait là, enveloppée dans son épaisse doudoune de bonhomme Michelin qu’elle venait juste d’acquérir, les joues rougies par la brise. Elle sourit de ce sourire chaleureux qui faisait tourner la tête de beaucoup d’hommes – de la plupart des hommes que j’avais croisés dans la journée. Elle interpréta mon sourire comme un « oui » et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle s’était installée entre mes jambes « de plus en plus bleues de froid ». La couverture de pique-nique équitablement étendue sur nos jambes respectives.

Mon Dieu, ça faisait du bien d’avoir Sandra à côté de moi. Son corps dégageait de la chaleur, son corps était enivrant – enfin, il le serait pour vous si vous trouvez l’huile de noix de coco attirante. La légère odeur de son parfum et l’odeur tropicale de ses cheveux propres confirmaient qu’elle s’était douchée un plus tôt. Mes bras s’enroulèrent avidement et délibérément autour de sa taille délicate, l’attirant plus près de moi. Elle se balança d’avant en arrière, s’enfonçant davantage dans la chaleur. Je pouvais sentir ma queue remuer et j’essayais mentalement d’ignorer les pensées qui obscurcissaient déjà mon jugement, mais… ce corps magnifique si proche…

« J’adore cette période de l’année, juste avant le printemps, quand il fait jour tard et que tout renaît : les plantes, les fleurs, les arbres, les feuilles – le temps de l’éclosion – le renouveau, l’aube d’une nouvelle saison… » Sa voix était à peine plus forte qu’un murmure. « Les plantes et la faune de cette région sont totalement magiques. » Je marmonnai une réponse affirmative, en essayant de ne pas penser au Brexit, au rugby, à la soupe maison. En repensant à son thème du renouveau et de l’éclosion, je sentis ma bite gonfler d’amour et d’intimité face à la présence enivrante de Sandra dans mes bras. Elle se pencha en arrière et ses cheveux blonds frôlèrent ma joue.

Sans réfléchir, mes mains se resserrèrent contre son corps en sentant la chaleur de sa peau sous la fermeture éclair de son manteau, à présent défait, et me donnant accès au t-shirt ample qu’elle portait. Elle soupira doucement en savourant l’air de cette fin d’après-midi. Je tournais la tête et regardai ses yeux, qui n’étaient plus illuminés par la lumière du soleil en raison de l’arrivée précoce de l’obscurité. Elle enfonça davantage ses fesses dans le sol et me sourit d’un air entendu. Je regardai nerveusement autour de moi. Personne ne semblait nous prêter attention, notamment parce que tous le monde était rentré chez soi, nous laissant seuls au sommet de la falaise, à l’exception d’une autre voiture garée au loin.

J’ai regardé la couverture qui nous recouvrait et l’ai testée en bougeant mes mains – je n’ai rien vu ni senti. Je décidai de tester mes limites. Je glissai mes mains le long de sa taille puis remontai vers ses seins. Elle bougea un peu et m’embrassa doucement. Ce mouvement me donna un accès plus direct à sa poitrine. Je massai doucement ses seins et la sentit bouger la tête venir me murmurer dans mon oreille : « Toute la journée j’ai eu envie de sentir tes mains sur mon corps ». Elle suça et mordilla le lobe de mon oreille. Et ce fut à mon tour de gémir.

Je saisis ses seins avec fougue et sentit la rigidité de son soutien-gorge. « Mince, me dis-je, j’espère que ce n’est pas un de ces modèles de fabrication française qui nécessitent un serrurier le défaire ? ». Je m’étais inquiété pour rien : il ne me fallut que quelques secondes pour en venir à bout !

Elle m’adressa son fameux sourire. Je plaçai ensuite son bras sous le mien car avec l’expérience, j’avais appris qu’avoir une main droite complètement engourdie n’était pas la meilleure façon de satisfaire une femme. Je baissai alors ma tête vers la sienne et nous nous embrassâmes doucement. Mes mains se glissèrent sous son t-shirt et revirent vers ses seins qui étaient à présents libérés. Je sentis leur plénitude et son excitation car ses tétons étaient durs et dressés et se pressaient contre son t-shirt.

Ses mains attrapèrent les miennes et les retirèrent doucement de ses seins et, de façon tout à fait décevante de mon point de vue, elle se mit debout. Je ressentis un bref sentiment de déception jusqu’à ce qu’elle se retourne et me tende la main. Je me levai à mon tour, lui pris la main et me laissai raccompagné vers l’hôtel.

Nous nous sommes garés à une bonne distance de l’entrée et la zone était déserte. Je la suivais bêtement – ayant adopté la démarche d’un crabe de mer dans une vaine tentative de cacher mon érection. Toutes mes pensées étaient tendues vers elle et la seule chose qui nous reliait était sa main qui me m’entraînait loin de l’entrée de l’hôtel.

Bientôt, nous nous sommes retrouvés dans une clairière tranquille. La lune maintenant l’éclairait légèrement et la peignait d’une lumière argentée. Sandra s’arrêta, se retourna et m’embrassa passionnément. J’explorai sa bouche tandis que mes mains la tenaient fermement. Elle suça ma lèvre inférieure et la mordilla doucement. Je gémis. Elle interrompit le baiser et je restai là, comme ivre, la tête en ébullition.

Je la vie nettoyer et désherber la couverture [elle a un esprit tellement pratique] et l’étaler sur le sol en prenant le temps de lisser chaque ondulation. Elle s’approcha de moi à nouveau et m’embrassa. Elle posa sa main sur la bosse dans mon jean. Je lui pétris gentiment la taille avant qu’une de mes mains glisse vers son cul tandis que l’autre retournait s’occuper de ses jolis seins.

Elle ouvrit habilement ma braguette et glissa la main dans mon short pour en sortir ma queue palpitante. Elle commença à la caresser lentement, sans jamais interrompre notre baiser, alors que je gémissais de sentir sa main autour de ma queue. Elle interrompit le baiser et se recula. Je la regardais ôter son t-shirt par-dessus la tête, puis défaire rapidement son soutien-gorge. Je restais bouche bée devant sa beauté enchanteresse, mise en valeur par la lumière argentée de la lune.

Ses seins étaient parfaits, ses mamelons merveilleux pointaient vers le haut. J’avais rarement l’occasion de les voir ainsi dans l’obscurité créée par les épais rideaux de velours de notre chambre. Ici un effet magique permettait à ses seins de se soulever et de s’abaisser à l’unisson de chaque respiration et m’invitant d’une certaine manière, comme par magie, à les sucer et à jouer avec eux. Je levai les yeux et fixai sur elle. Elle me regarda avec avidité et se pencha vers l’avant. Je l’embrassais, la caressais, pressai doucement son cou élégant ce qui était manifestement ce qu’il fallait faire puisque ses doigts sont immédiatement retournés vers ma bite dure.

Après ses lèvres, j’embrassais à présent son cou alors qu’elle déboutonnait mon short. Elle haleta de nouveau quand je pris un de ses tétons dans ma bouche, puis j’alternai l’un l’autre et les suçais fort. Mon pantalon -tout comme son soutien-gorge et son t-shirt – avait été rapidement enlevé. Elle glissa ses mains vers mes fesses et les saisit, ses ongles s’enfonçant passionnément dans ma chair.

Mes mains descendirent lentement mais amoureusement le long de son corps, glissant autour de sa taille. Je me suis penché vers l’avant et j’ai commencé à défaire le bouton supérieur de son jean – ses mains ont attrapé les miennes et elle a chuchoté doucement : « Pas tout de suite, chéri ». Elle suça, soupira et respira lourdement dans mon oreille et je laissai échapper un grognement : ce n’était pas le meilleur moment pour me taquiner. J’allais être obligé d’attendre pour avoir l’immense plaisir de la baiser.

Elle m’invita en me tirant à elle à descendre sur la couverture et m’embrassa alors que je me glissais à côté d’elle. Elle m’aida à enlever ma chemise et commença à embrasser ma poitrine pendant que mes doigts caressaient sa joue. Ses mains attrapèrent ma queue [encore], cette fois elle me saisit les couilles. J’arrêtai de respirer, je me tenais dans l’expectative alors qu’elle soufflait doucement sur ma queue sensible. Sandra gloussa quand je me suis tortillé et puis je sentis la chaleur de son souffle engloutir mon gland et je sentis une pression quand elle suça mon sexe, sa langue jouant habilement avec mon gland. Sa main glissait doucement de haut en bas sur ma bite.

Elle caressa ma queue plusieurs fois, puis la chaleur de sa bouche m’engloutit à nouveau. Sa langue et ses doigts opéraient de manière experte tandis que ses lèvres glissaient de haut en bas. Je passais mes mains dans ses cheveux, l’attirant doucement à se dégager alors qu’elle me conduisait trop rapidement vers l’orgasme. Je murmurai son nom, mais au moment où je le prononçai, elle libéra mon sexe. Le monde tournait autour de moi, je l’ai à peine sentie se glisser à côté de moi.

Elle m’embrassa passionnément à nouveau et mes mains retournèrent caresser ses fesses. Nous nous embrassâmes, exprimant notre passion avec nos lèvres, nos langues. Nous nous explorions l’un l’autre, mes mains glissant jusqu’à ses seins et caressant ses mamelons. Finalement, elle interrompit notre baiser et gémit doucement vers le ciel nocturne, ses hanches s’écrasant sur ma poitrine.

Je fis glisser mes mains vers le bas et essayai de défaire son jean à nouveau. Elle me tapa sur les mains pour m’en empêcher et dans la nuit, je pus voir son sourire. Elle m’embrassa à nouveau puis se leva. Je la contemplais alors qu’un halo argenté entourait son jean puis j’entendis la fermeture éclair de son jean s’ouvrir et la vis me tourner le dos. Elle enleva son jean très lentement, et dans la lumière de la lune, je pus voir le contour de ses fesses et apercevoir la forme bien connue d’un string, bien que je ne puisse pas en distinguer la couleur. Elle me regarda par-dessus son épaule alors qu’elle s’était complètement penchée à 90 degrés et me sourit tandis que je profitais de la vue qui s’offrait à moi.

Elle ôta les vêtements qui lui restaient et se mit à cheval sur mes hanches. Je pouvais sentir le tissu fin de sa culotte et la chaleur de sa chatte sur ma queue. Elle la sentait elle aussi et me titillait lentement. Mes mains glissèrent le long de ses jambes, mais elle les repoussa, se frottant plus fort sur ma queue. Je pouvais sentir sa mouille sur moi et j’avais envie d’être en elle. Je fermai les yeux et gémis son nom. Je sentis son corps chaud sur ma poitrine lorsqu’elle s’allongea sur moi et m’embrassa à nouveau. Elle s’assis et attrapa ma queue d’une main en faisant glisser son string sur le côté de l’autre tandis qu’elle me guidait en elle.

Nous avons tous les deux gémi de plaisir et je la sentis frémir lorsque j’entrai en elle. Elle balançait lentement ses hanches et je gardais mes mains fermement sur sa taille, guidant sa vitesse. Elle gémissait à chaque coup. Elle était perdue dans la sensation, sa vitesse s’accélérant un peu lorsqu’elle se cambrait. Je me mis à frotter son clito avec mon pouce. Elle poussa un petit cri de plaisir et ses ongles se plantèrent dans ma poitrine. Elle continua, me chevauchant, s’oubliant elle-même alors que je la pilonnais encore et encore jusqu’à ce qu’enfin, elle rejette la tête en arrière et crie.

Je sentis tout son corps frissonner alors qu’elle jouissait, sa chatte s’agrippant à ma queue aussi fort qu’elle le pouvait. Je gémis, moi aussi, vaincu par la fraîcheur de l’air nocturne et la chaleur de son corps sur le mien. Un peu plus tard, elle s’effondra sur moi et nous nous sommes embrassés passionnément à nouveau. Je l’ai fait rouler sur le dos et l’ai embrassée tout le long de son corps : ses seins, mamelons, pieds, orteils – son corps entier. Mes mains attrapèrent son string par la ceinture et j’étais ravi de le faire descendre, révélant ce qui était surement la façade de temple la plus soignée de la planète. J’embrassais ses jambes, mordillant et titillant l’intérieur de ses cuisses alors qu’elle se tortillait de plaisir.

Je suis finalement arrivé à sa chatte – Sandra avait une odeur très féminine, merveilleusement chaude et accueillante. J’embrassai ses lèvres et y glissai ma langue, effleurant son clito à gauche, à droite, décrivant un cercle, de haut en bas tandis que mes mains massaient doucement l’extérieur de sa chatte. Mes lèvres ont entouré son clito et je me mis à le sucer tandis que mes doigts s’enfonçaient en elle. Elle gémit bruyamment. Elle ne se souciait pas de qui pouvait l’entendre. Elle gémit encore et encore alors que ses jambes m’entouraient fermement. Elle souleva ses fesses du sol et elle frémit à nouveau lorsque son cul s’y reposa. J’éprouvai le besoin d’être en elle.

Je l’ai fait se retourner afin qu’elle me montre son magnifique cul et l’ai mise à quatre pattes afin de me glisser à nouveau en elle. J’étais hypnotisé par la vue de son cul rebondissant sur ma bite à chaque poussée. J’attrapai ses fesses et continuai à la pénétrer plus fort. Je poussai en elle et j’entendis le claquement de nos peaux résonner dans les arbres, se mêlant à ses gémissements. Je giflai ses fesses, pris par l’euphorie du moment, ne voulant rien d’autre qu’elle. Elle était ma déesse, mon unique centre d’intérêt dans ce monde et elle méritait d’être adorée.

J’attrapai son cul avec mes deux mains pendant que mon pilonnage continuait. Je levai la tête, les yeux fixés sur la merveille de la voûte céleste, et je posai mes mains autour de sa taille. Je maintins ma déesse ainsi un moment avant de pousser en elle une dernière fois pour y d’exploser, lui donnant tout de moi. Elle frissonna à nouveau lorsque je jouis en elle. Finalement, je m’effondrai à côté d’elle et nous nous embrassâmes à nouveau, ma main s’amusant à faire tourner ses boucles. Nous ne mîmes pas longtemps pour regagner notre chambre d’hôtel en titubant. Nous nous endormîmes tous deux rapidement, succombant aux bruits de la nuit, bien au chaud dans les bras de l’autre, complètement inconscients de deux écureuils qui riaient à gorge déployée et de Mabel – notre labrador qui attendait toujours d’être nourri !

 

* Cette fiction érotique a été écrite par Terry Alexander et traduite en français pas nos soins. Pour la lire dans sa version originale, c ‘est par ici.