Top 10 de Nos Plus Grandes Angoisses Au Lit Selon la Science

Sans le désir torride qui fait chuter les inhibitions et convainc les corps de se réunir en un tourbillon orgasmique, il faut reconnaître que nous serions beaucoup plus hésitants à l’idée de copuler avec le camp adverse. Faire l’amour est une mise à nue au sens propre, un partage d’intimité comme on en a peu souvent l’occasion, et il n’y a rien d’évident à se dévoiler à ce point.

Top 10 de Nos Plus Grandes Angoisses Au Lit Selon la Science

Et même la quête essentielle de plaisir, chez certains et certaines, est annihilée par cette obligation de passer par la case « je me dévoile sans artifice ». Car les peurs intimes sont puissantes et universelles, et peu de personnes peuvent se vanter d’aller s’ébattre avec tout un chacun sans aucune appréhension d’aucune sorte. Complexe physique, angoisse de mal faire, timidité maladive…

Nous avons tous nos petites craintes personnelles et c’est pourquoi un site américain tourné vers la médecine a décidé de mener l’enquête en interrogeant 2000 volontaires sur leurs pires craintes au lit. Voici donc les 10 peurs les plus fréquentes quand vient la galipette.

1) Mon/ma partenaire a une IST

Première inquiétude de la liste et sans aucun doute la plus légitime. C’est la raison pour laquelle il faut toujours se protéger ! Il y a bien sûr le préservatif obligatoire pour éviter de contracter l’immense majorité des IST, mais également la digue dentaire si l’on veut pouvoir montrer toute sa maitrise de l’art du cunnilingus ! Si l’on avance protégé, les IST passeront leur chemin et vous vous ébattrez la conscience légère !

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2) Le préservatif casse et entraîne une grossesse

Autre crainte fondée, celle du préservatif qui cède face à la pression… Raison pour laquelle il faut vous munir d’un modèle ultra résistant qui ne vous lâchera pas au moment où vous avez le plus besoin de lui ! Même s’il vaut mieux éviter d’abuser du procédé, il existe en cas de besoin la fameuse pilule du lendemain qui vous évitera une grossesse non désirée, mais pas les chlamydias ou le SIDA.

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3) Mon/ma partenaire va trouver que mon corps nu n’est pas attirant

La peur du jugement physique est également une angoisse récurrente et il est logique que la première fois que nous nous dévoilons à l’autre, nous ayons peur de son opinion. Il faut cependant relativiser : le désir est déjà là lorsque les corps sont exhibés et c’est donc que vous plaisez. La balance penche de votre côté ! La nudité n’a aucune raison de freiner cet élan érotique, au contraire. A moins que vous ne cachiez une caractéristique physique particulière de type cicatrice ou malformation quelconque invisible sous une couche d’habits, mais dans ce cas, évoquez-la avant de vous plonger dans l’étreinte si la chose vous inquiète.

4) Mon/ma partenaire ne va pas avoir d’orgasme ou ne va pas prendre de plaisir

Il est toujours difficile de savoir si l’on va s’amuser avant de se lancer dans un jeu ! Ce qui est certain, c’est que plus on se laisse aller, qu’on écoute son corps et son instinct, plus on a de chance que l’osmose se fasse. Les premières fois ne sont pas connues pour être les plus éblouissantes et les corps qui se connaissent ont plus de chance de se combler. C’est naturel, il ne faut pas s’en offusquer. Encore une fois, si le désir est à son comble, le plaisir sera au rendez-vous, quelle que soit sa forme. Et l’orgasme n’est pas une fin en soi.

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5) Je suis un mauvais coup

Le mauvais coup correspond le plus souvent à deux types de personnes : celles qui se moquent éperdument du plaisir de l’autre et qui centrent la galipette sur leurs envies uniquement, et pour celles-là, l’idée d’être un mauvais coup ne les effleure pas; et celles qui ont tellement peur de mal faire, qu’elles stressent, se crispent et se bloquent. Il faut donc se détendre, ne pas chercher à « bien faire », mais simplement prendre le temps de goûter son plaisir et le partager avec l’autre en lui demandant d’exprimer ses désirs ou ou en écoutant les appels de son corps.

6) Ca va être bizarre une fois que le rapport sexuel sera terminé

Il y a effectivement certains cas où, la galipette ayant été entamée dans une rage érotique incontrôlée, une fois la furie érotique passée, on peut se sentir un peu stupide, nus et face à face. Que ce soit dans le cadre d’un « coup d’un soir » ou de celui d’une première fois après plusieurs rencontres romantiques, cet instant de flottement peut être plus ou moins gênant. Il ne dure cependant pas longtemps et en vaut généralement la chandelle coquine !

7) Une manifestation corporelle gênante va se déclencher pendant le rapport

Personne n’est à l’abri d’un gargouillis de l’estomac ou autres bruits du corps encore plus gênants… Malheureusement, on ne peut pas y faire grand chose. Alors mieux vaut ne pas y penser. Surtout que si vous vous focalisez sur la crainte de voir votre système digestif se manifester, vous allez passer à côté du plaisir et vous tendre dans une rigidité qui risque d’avoir l’effet inverse escompté… Respirez tranquillement, détendez-vous, et si votre corps se fait remarquer, ignorez-le ou accusez la structure grinçante du bâtiment !

8) Mon/ma partenaire va me demander de faire quelque chose qui me rend mal à l’aise

Le refus n’est jamais agréable, surtout dans le feu de l’action érotique, mais si vous expliquez à votre partenaire avec le sourire et sans cessez vos caresses que là où il/elle est en train de s’aventurer, ce n’est pas votre tasse de thé, il n’y a pas de raison que les choses se passent mal. Et si jamais le/la partenaire en est courroucé(e) et insiste, c’est que vous avez fait une mauvaise pioche ! La galipette se fait à deux, dans le plaisir et le respect mutuel, pas de place à la négociation quand on a dit non, c’est non !

9) Mon/ma partenaire va trouver que je manque d’expérience

Rome ne s’est pas faite en un jour. Tout le monde est forcément débutant en toute chose à un moment dans sa vie. Si vos connaissances intimes sont encore limitées, qu’importe, fiez-vous à votre instinct et laissez-vous guider par vos envies. Et si la situation vous angoisse trop, partagez votre peur et expliquez à votre partenaire que vous n’êtes pas coutumier du fait coquin mais diaboliquement possédé par la soif d’apprendre !

10) Les poils sur mon corps vont stopper son envie

Il est fort à parier que cette crainte est majoritairement féminine. La fameuse séance d’épilation avant tout rendez-vous un tant soit peu galant étant la preuve ultime de ce complexe implacable. Sachez cependant que le désamour du poil n’est qu’un phénomène de mode propre à notre époque. Il y a encore quelques décennies, une petite peluche sous les bras d’une demoiselle était considérée comme un atout sensuel fort !

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La femme vs l’homme

Les résultats de ce sondage sur nos peurs intimes départageaient également les craintes par sexe, montrant que les hommes portent leurs angoissent surtout sur le bonheur de l’instant, voulant s’assurer que tout va se dérouler au mieux, quand les femmes sont plus inquiètes quant aux conséquences fâcheuses éventuelles comme les IST ou la grossesse non désirée… Un partage des peurs assez révélateur des pressions sociales actuelles : l’homme doit assurer au lit et la femme prendre toute la responsabilité d’une grossesse non prévue.

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