lutte des classes

Lutte des Classes – Partie 3

 

Trois semaines se sont écoulées depuis cette soirée de débauche et depuis… Trois semaines à voir Steeve une dizaine de fois pour qu’à chaque rencontre je me fasse plaisir à déguster son chibre tendu de désir pour moi ! Trois semaines pendant lesquelles j’ai changé, à rendre mes perversions encore plus présentes par mes envies plus folles et plus exigeantes… Un simple cunni à la va-vite ne me convient plus, je cherche le plaisir, l’orgasme, le fun, la passion d’un va-et-vient intense et beaucoup de « Domination ». Vingt et un jours et nuits pour assumer pleinement celle que je suis devenue, prête à jubiler si certains venaient à dire de moi que je suis une belle « Salope ».

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Je crois que mon ex n’a pas compris pourquoi j’ai rompu ; tant pis… Il m’a reproché de prétendre à des envies hors normes, d’avoir une vision biaisée du sexe. Honnêtement, je ne vois pas en quoi une fellation, une sodomie ou même une éjaculation faciale seraient anormales…

Le Lundi suivant cette soirée très libérée, j’ai encouragé mon mec à être plus entreprenant, à me prendre sauvagement, à me sodomiser jusqu’à la garde ! Qu’il soit plus volubile par ses mots crus salis d’injonctions…

Au final, je n’ai eu qu’un truc atone plein de fadeur : des va-et-vient lents, très soporifiques et une fellation, après laquelle je n’ai même pas pu déguster son essence. Trop pathétique pour moi… Une fois rhabillée, les yeux dans mes songes, je lui ai dit que ça ne pouvait pas coller entre nous. Sans trop de ménagements je dois dire.

Bon, cela m’a valu de belles insultes qui, je dois l’avouer, m’ont quelque peu excitées…

Entendre ces mots sortir de sa bouche avait quelque chose de très érotique. J’avais l’impression d’être à nouveau en levrette, sur la Loveuse de cet hôtel particulier si particulier, trempée de sueur et de mouille sur les cuisses, prise par ces trois mecs qui n’étaient intéressés que par moi… enfin moi et mon cul !

Le soir même, j’appelais Steeve avec le doux espoir qu’il me propose de l’assister, avec ses potes, pour d’autres soirées au moins aussi intéressantes. Ce ne fut pas le cas, au lieu de cela, il passa chez moi pour un moment très… intense.

À 23 heures, il sonnait à ma porte. C’était la première fois que je le revoyais depuis notre escapade lubrique où telle une Spielberg, j’avais immortalisé ses performances. A 23h10 et quatre centièmes, il déboutonnait son pantalon en me demandant… enfin, en m’ordonnant de le sucer. Son membre, gonflé par l’envie, se présentait fièrement dardé et à 23h11, je ne sais trop pourquoi ou comment, je me suis mise à genou devant lui pour le déguster.

Ma langue était curieuse de découvrir son goût, elle explorait cette queue qui me faisait saliver depuis trois jours. Je la lapais avec passion, débutant par les bourses puis remontant délicatement vers le gland, mes lèvres la ceignant pour finir par l’avaler sur quelques centimètres. Trop peu pour Steeve…

Rapidement, il m’agrippa les cheveux, créant une queue de cheval de sa poigne ferme, s’activant à baiser ma bouche de plus en plus profondément. J’épanchais ma salive sur son gland, sur ses bourses. Sous ses assauts, je gémissais, ses insultes exacerbaient mon excitation et sans y prêter attention, je frappais mon clitoris. Mes mains avaient retroussé ma jupe et écarté mon string. J’étais sa Salope et j’étais consentante…

Au bout de quelques minutes, il me retourna pour me prendre bestialement. Je n’étais pour lui qu’un « Vide-couilles » et je dois dire que j’adorais… et j’adore encore cette sensation. Du sexe pour du sexe, rien de plus, pas d’amour ou de sentiment. Rien que du cul !

Sa bite allait et venait en moi au rythme d’un marteau-piqueur lancé à l’attaque d’un morceau de béton. Ses lourdes couilles battaient la cadence en frappant le sommet de mes cuisses. Il s’enfonçait profondément en moi et je gémissais avec frénésie. Mes doigts martelaient mon clitoris, moi qui adore entendre leur claquement et sentir les flots de plaisirs jaillir sous leurs coups. J’accompagnais ses mouvements à contretemps, quand il allait, je venais et quand il sortait… et bien j’allais à sa rencontre…

Ses va-et-vient ont duré une vingtaine de minutes et quand il eut fini, sans même me demander si j’avais apprécié, Steeve repartit, vidé et satisfait de sa prestation. Il me laissa pantoise, le cul en et à l’air.

Il m’a baisée sans ménagements et j’ai adoré ça !

Ma perversité devenait plus présente. La Salope qui sommeillait en moi se réveillait enfin, pour mon plus grand plaisir !

Ce n’est qu’après deux semaines de franches mais douces débauches, que Steeve me proposa enfin de quoi satisfaire ma perversité : Je devais filmer une scène entre deux amants, c’était très sympa mais avouons-le, sans grand intérêt pour vous. Une manière, je pense, de tester mon implication ! Après tout, c’est son business, il ne veut pas le gangrener avec une personne aux envies superficielles, je le comprends.

Trois jours et deux rudes baises rapides plus tard, il m’avait appelé pour me donner rendez-vous chez Alex.

Fin

Note de l’autrice

Cette histoire est une fiction (Ou pas…) volontairement libérée. Toutes les scènes décrites ne représentent pas la vision du sexe par les femmes. Chaque femme est libre d’explorer sa sexualité selon ses envies. Merci de respecter les femmes, nous sommes si douces et si belles.

Allez plus loin dans l’aventure

Retrouvez les aventures de Ludivine dans mon e-roman « Aux services du vieux pervers ».

KmilleArticle écrit par Kmille

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