Un colis pour Mme Davis – Fiction érotique – Première partie

Avant de frapper à la porte d’entrée de Brandon, Steve ramassa un paquet en plastique anodin qu’un livreur avait jeté négligemment sur le pas de la porte. Dawn Davis, la mère de Brandon, en était la destinataire.

Steve remarqua une légère déchirure. Sans réfléchir, alors qu’il attendait que la porte s’ouvre, il inséra son doigt dans le petit trou du plastique. Son doigt rencontra du latex et une frange de cuir. Il en déduisit que la mère de Brandon aimait les vestes en jean des années 1980. Il y avait aussi une tige à l’intérieur. Elle semblait nervurée avec une extrémité arrondie. Il ressortit son doigt lorsque la porte s’ouvrit.

« Mec, tu es là ! Je t’attendais depuis longtemps », dit Brandon.

Steve entra.

« Pose ce paquet sur le canapé. C’est probablement pour maman. »

« Tu es prêt à partir ? J’ai laissé tourner la voiture. Je gaspille beaucoup d’essence à attendre que tu te bouges les fesses », dit Steve.

Brandon attrapa sa veste.

Steve sortit par la porte d’entrée. Il lui dit : « Allez ! Dépêche-toi pour qu’on puisse aller au gymnase avant le match. On est plus performants quand on est bien échauffés. »

« Je suis meilleur, oui, mais tu es toujours nul. »

« Hé, crétin, regarde-moi ce soir. Je suis prêt à… »

 

Le regard de Steve fut soudain attiré par le buisson épineux qui se trouvait sous la fenêtre. En le voyant, tous les souvenirs de la mère de Brandon troublèrent sa concentration. Il y avait quelque temps de cela, il avait souffert de voir la mère de Brandon nue et en train d’embrasser quelqu’un d’autre. Elle était devenue le personnage principal de ses fantasmes sexuels. Il se souvenait de ses seins qui se balançaient, de son large cul et du fait qu’elle était à genoux le suppliant de lui donner sa queue. Dans ses rêves, il explosait lorsqu’elle disait simplement : « J’en ai besoin ».

« Prêt à quoi ? » Brandon se moqua de lui.

Steve reprit le contrôle de son esprit.

« -à me défouler, tocard. Je suis chaud ce soir. »

Quelques instants plus tard, les garçons s’éloignaient en trombe de la maison de Brandon.

 

******

 

Peu de temps après, la porte du garage se leva lentement et un coupé rouge brillant entra à l’intérieur.

Dans la maison, Dawn posa son sac à main et son cabas sur la table de la cuisine. Elle remarqua le paquet au milieu du canapé. Elle se précipita vers lui.

« Je ne peux croire qu’il soit déjà arrivé. » Elle enfonça ses doigts dans le trou pour ouvrir le paquet, mais s’arrêta. Elle appela d’abord : « Brandon ? Brandon, tu es là ? »

N’entendant pas de réponse, elle déchira le paquet.

Elle en sortit une combinaison en latex et la tint devant elle.

« Un body. Megan ? » dit-elle à haute voix. « Aucune combinaison ne m’ira jamais. Je vais avoir besoin d’un abonnement à la salle de sport et d’un entraîneur personnel. »

Elle mit de côté la combinaison en latex. Dans le paquet, il y avait un fouet en cuir avec un manche rigide.

« Et ça ? Qu’est-ce qui se passe dans ta tête ? » Elle laissa échapper un rire contrôlé.

Enfin, elle trouva un collier en or. Une chose chic, relativement simple. Pas haut de gamme comme ses autres bijoux. Un fermoir reliait le collier et deux longues pièces pendaient sur une bonne longueur. Chacune d’elles était munie d’une pince à l’extrémité.

« Un collier avec des pinces à tétons ? C’est de la folie, tu es folle. »

Elle se couvrit la bouche en riant encore plus fort. Bientôt, elle s’effondra sur le canapé, craquant de façon incontrôlable.

Elle saisit son téléphone et envoya un message à son amie.

Paquet bien reçu. Tu es folle.

Elle reçut immédiatement une réponse.

À porter demain. Rendez-vous pour le déjeuner à 13h. J’ai une réunion jusqu’à 12h30. Je t’écris plus tard

Dawn emporta les objets fous dans sa chambre. Elle passa le collier autour de son cou. Le petit anneau était fixé au sommet de son décolleté. Les deux longs fils pendaient jusqu’à son nombril. Elle prit le premier bout. Une respiration rapide et elle enserra son mamelon brun. La douleur fut plus vive que ce à quoi elle s’attendait. Elle siffla et le desserra. Elle souleva son sein pour embrasser son mamelon et lui demander pardon pour cette brutalité passagère. Elle frotta ensuite son mamelon pour le préparer à une nouvelle douleur.

Elle prit la pince entre son index et son pouce, augmentant ainsi sa capacité mentale à supporter la douleur. Elle referma doucement le fermoir autour de l’un de ses tétons. Un sifflement et un léger bond l’aidèrent à calmer la douleur de la morsure. Avec une autre respiration profonde, un sifflement et un petit saut, elle referma la pince sur son autre mamelon brun.

Elle dansait et sautait dans sa chambre comme si le mouvement pouvait atténuer la douleur. Son corps se fit lentement aux sensations douloureuses sur le bout de ses seins. Petit à petit, la douleur évolua d’une piqûre aiguë à un battement lancinant, puis à une douleur constante.

Lorsque la douleur fut aussi supportable que possible, elle inspecta le fouet qui faisait également office de godemiché. Elle était en train de l’étudier et de le frotter dans sa paume lorsqu’elle entendit Brandon.

« Maman, on est de retour », cria Brandon. « Est-ce que le dîner est prêt ou est-ce que tu veux que Steve et moi nous en occupions ? »

Elle dut s’arrêter brusquement.

Elle se précipita pour cacher les jouets dans la table de nuit à côté de son lit. Elle les recouvrit du mieux qu’elle a pu, avec son masque de sommeil. Elle garda cependant son collier à pinces, car justement les pinces étaient insoupçonnables.

« Bonjour les garçons », dit-elle en entrant dans le salon. « J’avais prévu de préparer le dîner. Il faut juste que je sorte des choses du réfrigérateur et que je mette le four à chauffer. »

Elle passa devant Steve, installé dans le fauteuil incliné, et Brandon, qui assis quant à lui au milieu du canapé.

« Au fait Mme Davis, dit Steve, avez-vous reçu le paquet que j’avais posé sur le canapé ? »

Elle marqua une pause et son dos se raidit. Des mots s’échappèrent de sa bouche sous l’effet de son malaise soudain.

« Merci de l’avoir apporté », balbutia-t-elle.

Savait-il ce que contenait le paquet ?

« Je l’ai trouvé déchiré. Probablement le livreur, pas moi. »

Lui faisait-il comprendre quelque chose ? La peur la saisit.

« Rien n’a été endommagé à l’intérieur, il n’y a pas lieu de s’inquiéter » dit-elle le plus froidement possible. Elle se précipita dans la cuisine pour mettre de la distance entre elle et les garçons.

« Maman, tu continues à commander de la camelote sur Amazon ? Tu avais dit que tu allais arrêter pendant un moment. »

Elle secoua la tête.

« Écoute Brandon, je peux dépenser de l’argent pour ce que je veux. Mais pour ton information, c’est le cadeau d’une amie. Je ne l’ai pas acheté. »

Brandon leva les yeux au ciel. « Bien sûr, peu importe. » Il regarda Steve. « Elle ne peut pas se passer d’Amazon, mais je sais qu’elle sera vraiment vieille quand elle achètera par correspondance. »

« C’est le cas ? »

« Non. »

Brandon appela alors sa mère qui était entrée dans la cuisine. « Hé, qu’est-ce que tu as acheté cette fois-ci ? Il va falloir que je contrôle tes dépenses. »

La porte du four grinça lorsqu’elle l’ouvrit. « Arrête avec ça. Je te dis que c’était un cadeau. »

« Qu’est-ce que vous préparez à manger, Mme Davis ? Ça me donne envie de rester manger et d’échapper au pain de viande de ma mère. »

« J’allais te proposer de rester », dit-elle.

En entendant cela, Steve se leva.

« Je vais rentrer à la maison. Je vais me doucher et manger. Ah oui, j’ai oublié de te dire que je ne serai pas là vendredi. J’ai un rendez-vous avec Whitney. Un film. Un de ces films romantiques. » Il leva les yeux au ciel, amusé.

« Tout ça pour la baise », le taquina Brandon.

« Tu écoutes toujours ces groupes de nu-metal des années 1990 ? »

Brandon se contenta de hausser les épaules.

« Arrête de les écouter. »

Steve repartit chez lui.

Brandon se rendit dans la cuisine. « Dans combien de temps le repas sera-t-il prêt ? »

« D’ici 45 minutes. J’ai tout préparé hier, je n’ai plus qu’à tout faire cuire. Je vais me changer. Tu pourras le mettre au four quand le four sera chaud ? »

« Je suppose », marmonna-t-il.

Avant de partir, elle demanda des nouvelles de Whitney.

« Comme Steve a des plans pour vendredi, tu vas faire quelque chose ? »

« Non. Pas avec lui en tous les cas. »

« Tu as un truc de prévu ? Avec une fille ou… ? »

« Tu as besoin que je parte pour l’un de tes… ? » Brandon ne posa pas la question en entier.

« Je n’en suis pas sûre. Je préfère te prévenir, vu ce que mes rendez-vous provoquent chez toi. » Elle se rendit dans sa chambre avant que Brandon n’ait eu le temps de répondre.

Elle enleva son chemisier et son soutien-gorge, puis desserra les pinces. Ses mamelons s’étaient engourdis sous l’effet de la douleur. Ils étaient aplatis et portaient les marques des minuscules dents métalliques. Elle massa chaque mamelon pour s’excuser une nouvelle fois de la brutalité de la douleur. Elle enleva le collier et le plaça avec ses autres bijoux.

Elle appréciait ce que Megan lui avait envoyé. Elle savait que plus tard, elle devrait essayer son autre nouveau jouet. Le fouet serait pour une autre fois. Elle se demandait à quel homme elle donnerait l’autorisation de la fouetter. Cette pensée était déconcertante. Sir pourrait le faire. Un date qui la fouetterait pourrait l’emmener dans une relation folle. Elle n’en voulait pas. C’est alors que Steve lui vint à l’esprit – assez curieusement. Elle secoua la tête pour rejeter cette idée.

Il lui restait encore la tenue en latex à essayer. Elle n’essayait jamais de se glisser dans le latex que lorsque Brandon était à la maison. Jamais. Elle savait qu’il était difficile de faire sortir la viande du boyau d’une saucisse, alors s’introduire dans ce boyau de latex serait encore pire pour elle.

Depuis la cuisine, elle entendit Brandon lui dire que le diner était prêt. Ils dinèrent ensemble et se détendirent.

Le lendemain, vers 13 h 30. Dawn était assise à une table haute, sirotant un cocktail léger composé d’eau gazeuse, de Vermouth et de Campari. Megan arriva en retard, comme à son habitude. Elle demanda pardon à Dawn avant même de s’asseoir à la table.

Le serveur s’approcha d’elles avant que Megan ne s’installe à sa place. Elle commanda son plat de résistance. Un vin blanc, Pinot Grigio, bien frais. Il revint en un instant avec son verre de vin.

« La réunion a été épouvantable », dit Megan. « Mes clients n’ont pas réussi à prendre de décision sur la manière d’aborder ce projet de pont. Financement, conception, calendrier… la réunion a tourné au vinaigre en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. J’aimerais que les gens prennent des décisions. Au lieu de cela, ils tergiversent. »

Megan se redressa. « Mais alors ! Les cadeaux. Est-ce que tu portes quelque chose ? »  Elle leva plusieurs fois ses sourcils bruns et bien épilés.

« Oui. » Dawn chuchota sa réponse, comme si tout le monde risquait de comprendre ce qu’elle portait si elle parlait trop fort.

Megan chuchota : « Les pinces ? »

Dawn acquiesça. Elle sentit que ses joues se coloraient et une chaleur monter dans sa nuque.

Megan pouffa. Dawn rit aussi mais sentit une pince lui tordre le téton en s’accrochant au tissu de son soutien-gorge. Cela l’empêcha de continuer à rire. Au lieu de cela, elle toussa. Megan secoua la tête, sachant ce qui s’était passé.

« C’est plutôt douloureux, hein. Je crois que c’est John Mellencamp qui l’a le mieux dit : « Une délicieuse douleur ». »

Elles gloussèrent et sirotèrent leurs boissons.

Elles gloussent et sirotent leurs boissons.

« Tu portes aussi ces trucs ? » demanda Dawn.

« Souvent, oui. Je trouve qu’ils me permettent de garder les pieds sur terre. »

« Comment ça ? »

Megan haussa les épaules pour admettre ce fait unique. « La douleur m’aide à rester dans le moment présent et m’aide à ralentir. »

« Tu n’en portes pas aujourd’hui, je suppose. »

« Ma réunion ne se serait peut-être pas aussi mal passée si j’en avais porté ». Megan prit son verre de vin, mais le posa avant de le boire. « Et les autres cadeaux ? »

Dawn pensa au paquet qu’elle avait reçu. « Tu veux tout savoir de moi. »

« Les cadeaux, je veux m’assurer qu’ils te plaisent. Si ce n’est pas le cas, je ne t’en offrirai plus ! » Elle fit un signe du doigt. « Avec toi, je peux parler de tout. Nous sommes ouvertes l’une et l’autre. »

« C’est vrai. » Dawn prit une longue gorgée avant de répondre à la question de Megan. Elle expira la réponse. « Dison que je me suis bien amusée avec celui-là. »

Megan apprécia manifestement la réponse, tapotant ses paumes, comme une petite fille. « J’en suis ravie. Cela m’a fait penser à toi. Qu’en est-il de la tenue et de l’autre chose – je ne dirai pas ce que c’est pour éviter de te mettre dans l’embarras ? »

« Merci de ne pas le dire. Je ne suis pas d’humeur à me mettre dans l’embarras. Quant à ta réponse, je n’ai personne sur qui l’utiliser – ou personne qui pourrait l’utiliser sur moi. »

Megan posa ses coudes sur la table et croisa ses doigts.

« Et ce rendez-vous que tu as eu il y a quelques semaines ? Il n’en valait pas la peine ? »

Dawn se pencha en arrière, comme sous la pression d’un interrogatoire.

« Il allait un peu vite et nous sommes allés trop loin. Beaucoup trop loin. » Elle secoua la tête, déçue. « Je l’ai laissé faire. C’était ma faute. À partir de maintenant, je dois me contrôler pour que cela ne se reproduise plus. »

« Wow, wow, wow. » Megan posa son verre de vin et en fit tinter son pied sur la table. Elle se pencha en avant, fixant son amie. « Jusqu’où êtes-vous allés ? Tu donnes l’impression que vous étiez toutes les deux au bord du précipice. »

Dawn jeta un coup d’œil vers le bar.

« Aussi loin que ça, hein. » Megan sourit, ayant lu la réaction de Dawn.

« Pas si loin que ça ! Tu as une bien piètre opinion de moi. » Elle donna un coup de tête vers son amie. « Je dois admettre que nous avons été très, très proches. »

Dawn soupira. « Je l’ai laissé aller plus loin que je ne l’aurais jamais voulu. Depuis le temps que je le connais, il m’a toujours semblé si équilibré. Et le dîner était super. La conversation était fluide et facile. Nous nous sommes bien entendus. Il m’a fait rire. C’est rare, je l’admets. »

Megan acquiesça. « Il a su bien manœuvrer. »

« Oui, on a fini par se prendre la tête. J’ai tout gâché. Maintenant, nos rapports sont flous. »

« Mais tu sortiras à nouveau avec lui, n’est-ce pas ? »

« Je pense que oui – peut-être, enfin je n’en sais rien. Je n’en suis pas sûre. » Elle dodelina de la tête d’un côté puis de l’autre. « Enfin qui d’autres est ce que je pourrais solliciter ? Pour en revenir à toi, qui laisserais-tu utiliser « ça » sur toi ? » Dawn ne mâchait pas ses mots pour réorienter la conversation.

« Il y a bien quelques gars, mais cela n’a jamais fonctionné avec aucun d’entre eux. L’ambiance n’était jamais propice. » Elle but une gorgée de vin. « Toi et moi sommes en mauvaise posture. Seuls certains hommes possèdent tout ce dont nous avons besoin – enfin la plupart des choses dont nous avons besoin – et peu sont capables de se tenir aux côtés d’une PDG prospère. C’est lié à un manque d’assurance chez eux. »

Megan ramena ensuite la conversation sur Dawn. « Qui était ce type avec qui tu sortais ? »

Dawn tenta à nouveau de détourner l’attention, mais Megan insista jusqu’à ce que Dawn se mette à parler.

« C’est un ingénieur – qui ne fait pas partie de mon entreprise – je l’ai rencontré lors d’un congrès. Nous avons passé un bon moment au bar. Nous sommes sortis ensemble plusieurs soirs pendant ce congrès. Il m’a proposé de nous revoir à notre retour. »

« Lors du congrès, est-ce que tu l’as emmené dans ta chambre ou est-ce que tu es allée dans la sienne ? »

« Pas du tout ! » Dawn agitait les mains comme pour bloquer la circulation en sens inverse.

« Donc, c’est un ingénieur. Tu l’utilises pour obtenir des informations sur la concurrence ? Tu ferais mieux de ne pas sortir avec l’un de mes employés, surtout pas avec l’un de mes ingénieurs. »

Les deux femmes se mirent à rire.

« Donne-moi un employé et j’obtiendrai toutes les informations confidentielles que je veux », dit Dawn en plaisantant. « Je sais faire parler les hommes. » Elle mit en avant ses seins lourds.

« Toutes les femmes peuvent faire parler les hommes. »

« Un homme qui parle, c’est une chose. Un homme qui révèle ses secrets en est une autre. »

Elles trinquèrent pour marquer leur accord sur le sujet.

Megan la prévint : « Mes employés savent tenir leur langue. Ce fouet ne me sera d’aucune utilité. »

« N’utilise pas ainsi le mot qui commence par un F, » la gronda Dawn, tout en scrutant la pièce au cas où quelqu’un à proximité l’aurait entendue.

« Personne ne nous écoute. » Megan balaya l’inquiétude de Dawn. « Calme-toi. Mais puisque tu n’as pas trouvé d’autre garçon avec qui sortir, tu devrais revoir l’ingénieur. Tu ne peux pas laisser passer une potentielle belle histoire parce que tu penses que tu l’as peut-être laissé aller trop loin. Établissez des lignes claires. S’il t’emmène trop loin, tu peux mettre fin à la relation. Imagine qu’il respecte tes limites ? Ça vaut la peine de tenter sa chance en amour. J’ai une suggestion : porte les pinces la prochaine fois que tu le verras. Ça te permettra de rester ancrée – sur terre, tu sais – au lieu de devenir une folle de sexe. »

Dawn grogna contre Megan pour avoir utilisé le mot qui commence par un S de façon aussi directe. Pourtant, elle partageait son avis.

 

* La suite est ici  !

** Cette fiction a été écrite en anglais par Claire Woodruff – Pour la lire dans sa version originale, c’est par ici !