Le Bad Lover

Salut, moi c’est Marc, j’ai 25 ans et je suis barman. Pour des raisons légitimes vous comprendrez que je ne puisse dire où je bosse.

Sachez juste que je suis sur Aix-en-Provence et que le bar où je sévis n’est pas très loin de la FAC. J’y bosse depuis 5 ans et même si je ne suis pas Tom Cruise dans  » Cocktail « , j’aime mon taf. Il me permet de choper pas mal de cagoles, essentiellement de jeunes étudiantes qui viennent de la faculté du coin …

Oh, je sais ce que vous vous dites, « Quel salaud ce type ! » et pourquoi pas, « Quel gros con !« , mais je l’assume. Même si d’aucuns me pensent ainsi, j’avoue que c’est un peu vrai : Je suis un collectionneur !

Alors comprenons-nous, je ne suis pas un de ces pauvres types qui collectionnent une touffe de cheveux ou de poils pubien et qui classent les meufs dans un classeur soigneusement déposé là, dans le tiroir de leur table de chevet. Non, je ne suis pas ce genre de collectionneur, quoique… Oui, je l’avoue, j’ai quelques calepins qui doivent trainer chez moi avec de multiples petites photos de nanas et de ce que j’en ai pensé. Tantôt salope, tantôt  » tanche « , j’avoue que j’aime le relire de temps à autre.

Je dois dire qu’ici, dans le sud, les nanas sont sacrément douées ! Ça change de là d’où je viens mais bon, ceci est une autre histoire.

Oui, je collectionne les coups d’un soir, mais je préfère dire que j’offre du plaisir à ces cagoles en manque de sexe, plongées du matin au soir dans leurs bouquins ! Avouez-le, un bon coup de bite ça fait toujours du bien !

Bref hier, mercredi, j’ai eu le plaisir de voir débarquer cette jeune nana, Karine. C’est la première fois que je la vois, seule, sans sa copine qu’elle appelle « ma Lulu« .

Alors vous vous doutez bien que j’ai saisi l’occasion.

Elle semblait tourmentée, en tout cas elle était dans ses songes, cette pétasse voulait me voir la servir et basta. Ici on voit des nanas qui viennent de partout, elle, elle doit venir de Paris. Genre les serveurs ils servent et c’est tout ce qu’on leur demande. J’aime pas ce côté dédaigneux ! Alors je m’impose.

Elle est donc là, assise à sa table, le bar est vide. Je l’invite à me rejoindre au bar avec mon plus joli sourire, aussi charmeur qu’explicite. Elle accepte. Accompagnée de son verre et de son sac à main, la voilà, s’installant au bar.

Trop facile, elle ce soir je la baise c’est clair !

La tête plongée dans son smartphone, elle ne me voit pas la mater, la dévorer et l’imaginer à poil en levrette en train de subir mes coups de butoir.

Faut que je récupère son 06 !

– Et ben dis donc, tu es une vraie femme d’affaire avec ton téléphone. Il sonne sans arrêt.

– Euh oui… désolée c’est mon amie, elle se demande où je suis …

Merde, l’autre Lulu va se pointer sous peu, je dois conclure maintenant.

Je lui lance mon appât :

– Ok, du coup pour parler avec toi j’dois l’faire par SMS, tu me donnerais ton numéro ?

Elle est tellement nunuche que je suis sûr qu’elle va me le donner. Et en effet, sans avoir à insister, elle me donne son numéro.

Un SMS plus tard, la voilà prise dans mes filets, elle rigole comme une pétasse, peu importe que ce que je dise soit rigolo ou non. Ma cocotte ce soir, tu vas être à moi !

Bref, sa copine se pointe comme prévu, je retourne à ma place, moi, le simple serveur. Apparemment, elle est tellement appâtée, que ce soir elles m’invitent à les rejoindre dans le bar à cocktail où tous les jeunes d’Aix se retrouvent, pour ensuite les accompagner en boite.

Certes, mais pas n’importe laquelle, non ! La boite à la mode pour tous les noctambules d’Aix-en-Provence qui se respectent. J’ai déjà chopé pas mal d’autres cagoles là-bas, y’a des coins bien sombres où elle ne manquera pas de me sucer la teub’ comme les précédentes !

Elles quittent le resto, j’en profite alors pour annuler mon rencard de cette nuit. Un vulgaire plan avec une meuf sans intérêt, un joker pour les soirs de disette. Au moins avec ce  » PQRdS  » ou Plan Q Régulier de Secours pour les non-initiés, je reste toujours au top.

22h30, je me prépare pour ma soirée avec Karine. Une bonne hygiène est importante. Il n’est pas question, au moment de passer à l’acte, de se louper pour une odeur de sexe ou de sueur. Sentir bon est la base alors deux trois pschitt de  » Allure  » de Chanel et on est paré. Un jean, un t-shirt et je m’installe devant la TV un whisky à la main. Pas question d’arriver à l’heure.

23h15, le point de rendez-vous est à quelques pas, à peine 10 minutes à pieds et c’est bon.

A mon arrivée, elles sont assises là avec un harem de 5 mecs qui n’ont d’yeux que pour l’autre pétasse. Karine est seule dans son coin avec sa robe de salope, offrant une vue immanquable sur ses mamelles qui ne demanderont qu’à se balancer sous mes futurs coups de bite.

Elle est encore dans ses songes. J’arrive et m’installe à côté d’elle, je commande un demi. Il m’est inconcevable de perdre mes moyens au moment de passer à l’acte. Ma queue me démange déjà, elle a tellement envie de saillir cette chienne.

Ces cuisses à moitiés offertes ne demandent qu’à être caressées. Je lance ma main à l’assaut.

D’abord sur la mi-cuisse une partie sur sa robe, l’autre sur sa cuisse. Si elle ne dit rien j’attaque, est-elle  » salope  » ou simple allumeuse ?

Elle ne dit rien, je m’en doutais, ma main plus curieuse s’immisce sous sa robe, délicatement, doucement. Putain qu’elle a les cuisses douces, un régal. Ma bite frétille, je n’en peux plus…

Et forcément, c’est à ce moment que l’autre pétasse décide qu’il faut bouger en boite !

Comme elle n’est pas très loin, on y va à pied. Mme  » Pétasse  » avec son harem et moi, un peu à la traine, avec Karine légèrement alcoolisée. Enfin légèrement, cette salope ne tenant pas bien l’alcool elle a du mal à marcher.

Une main sur son cul bien bombé, bien rond et je me rends compte qu’il n’y a qu’un string qui me sépare du terrain de gold à deux trous. Parfait ça !

On rentre dans la boite sans soucis, il y a la queue mais nous, on passe tout droit. On est les VIP de la soirée.

Et là, à peine arrivés, voilà que ma salope se lance à l’assaut de la piste de danse. Merde, tant pis j’suis pas un crève la faim, donc moi j’vais m’asseoir avec les autres. Elle reviendra rapidement.

En attendant je la mate se déhancher sur la piste. Ouch ! Ce cul, qu’il bouge bien, elle n’est pas bien grande mais ces seins et ces fesses, franchement même si je préfère les grandes, j’peux pas passer à côté de ce beau petit lot qui m’est servi sur un plateau.

Les mecs s’agglutinent déjà autour d’elle et elle ne fait rien. Soit elle est nunuche, soit c’est une vraie salope. C’est clair que j’vais me la baiser elle !

Bon, j’vous passe la soirée où seul… non en fait ce passage montre bien que je ne me suis pas trompé avec cette meuf.

En fait, elle est revenue à la table, s’est assise à côté de moi et là ce fut la porte ouverte à tout.

Là dans notre coin VIP, les bouteilles de champagne se vidaient puis disparaissaient aussitôt remplacées par une autre, puis encore d’autres.

Dans cet instant ma salope s’offre, prête à me laisser abuser d’elle.

Oui, je sais ce que vous vous dites : « T’es un enculé d’abuser d’elle alors qu’elle est saoule !« , et alors, vous, vous auriez fait quoi ? Comme moi, clairement, une salope assise à côté de vous avec des nichons pareils ? Franchement, arrêtez de vous foutre de moi, vous la baisez direct ! Et c’est bien ce que je compte faire. Et vous les meufs, faites pas vos saintes-nitouches, vous n’attendez que ça…

Bref, elle a les jambes ouvertes, le string écarté.

Sans ménagement, je la doigte là comme ça, au calme. Elle est trempée, son con dégouline, le séant se dandinant telle une bonne chienne.

Elle demanderait presque la fessée.

Un doigt puis deux puis trois, tous rentrent dans cette chatte si gourmande.

Discrètement je la goutte en léchant mes doigts, en les sentant. Elle sent bon et putain ce qu’elle a bon goût. Si on reste 5 minutes de plus, je l’amène dans un coin et je la démonte, là, décontracté, dans cette boite !

Malheureusement sa copine décide de partir, on sort donc, direction leur appart’.

Ce dernier n’est pas très loin, pour ceux qui connaissent Aix-en-Provence, elles habitent Cours Sextius, à coté quoi ! Le retour fut du même genre que l’aller. Sauf que ma salope titubait encore un peu plus. Bon, on était tous un peu dans le même état…

Chez elles, Madame  » Pétasse  » s’installe sur le canapé avec ses 5 mecs, elle caresse leurs bites dressées sous leurs caleçons. Limite ça va se terminer en partouze cette histoire, et franchement ça me branche pas du tout ce truc, même si… même si ma bite semble excitée par l’idée.

Mais perso, j’aime prendre possession de ma partenaire, pas question de la voir sucer un autre pendant que je l’enfile !

Heureusement pour moi, elle m’entraine dans sa chambre.

Je l’allonge sur son lit, retrousse sa robe, écarte son string et je lui bouffe la chatte. Putain elle a vraiment bon goût et elle mouille bien la salope. Je la lape à grand coup de langue, son clito est énorme, il va exploser ce con. Je décide de le tapoter avec ma langue tout en lui enfonçant l’index bien au fond de la chatte. Elle gémit la connasse, elle en demande encore et… et quoi ?

Elle m’appelle Jeanne, c’est qui cette Jeanne, c’est quoi ce bordel !! Non Salope, moi c’est Marc et j’vais t’en mettre plein la foune…

Je me redresse, me lève, puis sors le matos. Ma bite est au garde à vous, Karine m’imite et s’agenouille devant moi, la verge à hauteur de sa gueule.

Elle finit de me défroquer puis, attentive, elle commence à me branler. Genre elle sait pas sucer cette pute !

Enfin, elle lèche mon gland grossi par le plaisir et sa langue parcourt ma queue jusqu’à gober mes couilles, bien grosses et bien pleines. Elle remonte le long de mon chibre puis l’enfourne tout entier. Elle me donne presque l’impression d’avoir une petite bite. Mes 18 centimètres disparaissent dans sa bouche, quelle goulue cette meuf !

Quelle bonne salope … ça c’est de la pipe du tonnerre, le genre de pompage qui te fait perdre le contrôle. Mais ça ma belle c’est pas possible ! Je lui prends la tête à deux mains et m’entame à bien lui montrer que c’est moi qui garde les rênes. Je lui baise la bouche profondément puis plus rapidement, sa bouche dégouline de salive autant que son con de mouille. Mes bourses en sont trempées, j’en profite pour lui enduire la face de sa bave récupérée sur mon dard dressé.

J’ai toujours rêver faire ça, c’est tellement bon de voir une salope aussi dévouée. Et franchement, si je ne le fais pas avec elle, alors avec qui !? Clairement c’est le genre de nana à aimer ça. Oui j’en profite !

Ainsi recouverte, elle n’a plus rien d’un ange, mais clairement d’une salope qu’il faut finir et c’est bien ce que je vais faire. Je la retourne sur le lit. En levrette ma Salope !

Instinctivement elle se cambre, elle m’offre sa croupe. Je retrousse à nouveau sa robe, retire son string et m’enfonce en elle. Sa chatte est comme je la prévoyais : très accueillante !

Elle couine la garce, elle en veut… au point où son cul vient à la rencontre de ma bite quand je ne vais pas assez profondément. Putain et ce cul… je lance ma main à sa rencontre…

Clac ! Une fessée, elle gémit, alors je me lâche… Son cul rougit sous mes fessées, ma main aussi d’ailleurs, alors je me déchaine, l’agrippe par les hanches et je m’enfonce, à chaque va-et-vient, le plus profondément possible.

Elle couine de plus en plus fort, je sens mon sperme au bord du précipice. Je me retire aussitôt, pas le temps de la voir se retourner, elle se lance sur ma bite au bord de l’explosion. Elle me suce frénétiquement, bouffe mes couilles, lèche ma teub, l’enfonce en elle.

Elle la branle de plus en plus vite… Je vais l’arroser si elle continue ! Elle ne s’arrête pas !

Brusquement, dans sa bouche, je me répands intensément. Elle continue à me sucer, relâchant ma semence qui se mélange avec sa salive et se répand sur ma queue.

Putain que c’était bon, je n’ai pas baisé comme ça depuis… depuis quelques jours déjà.

Je m’essuie la bite avec une lingette disposée sur son bureau, là, en face. Je me rhabille et m’assois sur le bord du lit. Elle, telle une bonne chienne, reste là, à genou. Elle me regarde satisfaite et amoureuse… elle se relève puis remet son string.

– C’était trop bon. Je vais y aller moi. Je dois dormir un peu

Sur ces mots, je me lève, elle me suit.

Elle a pour seul habit son string remit à la hâte et sa robe toujours retroussée. Elle me raccompagne à l’entrée, on échange quelques mots de bienséance puis je descends les escaliers.

Je suis rentrée chez moi tout léger et satisfait d’avoir baisé une bonne salope que je ne manquerai pas de rappeler… ou pas !

Et là, vous vous dites que je suis un beau salaud !

Vous avez raison, je suis un salaud, un prédateur et j’abuse, use et utilise à ma guise toutes ces cagoles d’étudiantes qui n’attendent qu’un mec comme moi …

C’est trop bon !!!

Note de l’autrice

Marc, Karine et Lulu sont des personnages de fiction et ne reflètent en rien ma façon de penser.

Allez plus loin dans l’aventure

Retrouvez Marc dans mon e-roman : Aux services du vieux pervers : Chapitre 3.

KmilleArticle écrit par Kmille

Kmille vous emmène dans son univers sexy et coquin où vous découvrirez des conseils, des avis, des tests et plein d’autres choses…enfin un site où l’on aborde tous les sujets sans tabous.